Bella & Edward

Longtemps j'ai cru que ma vie était un enfer, mais dans cet voie lacté sombre, sans étoile une lueur est apparus, une lueur intense qui a chaque secondes c'est amplifier jusqu'au jour ou je ne vit plus qu'elle, mon étoile, celle qui a enflammer mon cœur, Bella.

Tout ce qui c'était produit me déconcertais, je ne comprenais pas réellement ce qu'il c'était produit, tout ce qui comptait en revanche à mes yeux était la sécurité de Bella, rien n'y personne ne comptait plus qu'elle a mes yeux. Nous étions installer dans notre loft depuis peu de temps, la nouvelle avait secouer la ville, je ne savais même pas comment partir d'ici mais je savais que celle qui souffrait le plus était Bella étant donner que tout le reste du monde était entièrement détruit et que par conséquent ses parents avait périt. J'étais malheureux pour elle, je savais a quel point elle les aimait, la dernière fois qu'elle les vit elle n'avait pas penser que c'était leur adieux. Je savais pertinemment qu'elle souffrait en silence, ne désirant pas partager sa peine, ne désirant point me faire du mal, mais la voir ainsi, errante parfois en rentrant, la voir seule recluse dans un coin de notre loft me faisais terriblement souffrir malgré le faite que j'eus un cœur de pierre depuis plus de 80 ans.

Tout devait être normal, du moins tout le monde faisait comme si rien ne s'était passer bien que tout cela était impossible. Je me demandais encore comment on avait pus se faire piéger ainsi. Comment Alice n'avait elle pas put voir se qui allait se produire? En même temps je ne regrettais pas d'être venu, puisque dans l'autre cas, si ne nous ne nous étions pas déplacer elle aurait sans doute périt et cela m'aurais achever. Depuis que nous étions ensemble je savais que ma vie n'avais aucune raison sans elle. Elle était mon étoile celle qui illuminait mon chemin, celle qui me guidais surtout. Elle n'était pas encore rentrer de l'université, elle tentait tant bien que mal de poursuivre ses cours, ainsi que moi même. A présent tout le monde connaissait notre existence, certains s'en moquait, d'autres non, ils désiraient nous chasser. Alice avait eus de mauvais pressentiments, elle avait eus des visions ou on attaquait des humains, des vampires et des loups. J'avais décider de faire un pacte de nouveau avec la meute de Jacob, mais ce qui me tourmentais le plus était le faite que Bella était toujours mortel et que par conséquent elle courrait de terrible risques dans cette nouvelle ville. J'avais peur a chaque secondes qu'elle s'évanouisse, je savais que sans elle je n'étais plus rien.

M'étendant sur le canapé, je pris mon journal intime pour y inscrire mes pensées les plus sombre comme de coutumes, mais depuis que j'étais lié avec Bella qui était devenu enfin mon épouse, j'écrivais parfois des pensées plus glorieuse, plus belles, évidement elles concernaient mon tendre amour, ma femme. Je pris ma plume et commença a me lancer dans de longues lignes, quand elle rentra enfin. Je vins l'accueillir, comme toujours elle était sublime. Elle portait un chemisier blanc a dentelle, un jean simple bleu foncé et des baskets vertes en jeans. Elle avait toujours son sac a dos orange, celui qu'elle avait encore à Forks.

« Bonjour madame Cullen, comment vas-tu? »

Je l'enlaçais tendrement et avec amour. Elle m'avait terriblement manqué, j'avais dus rentrer plutôt à cause d'un coup de fils d'Alice, mais tout était très vite rentrer dans l'ordre. Je la gardais précieusement tout contre moi, être loin d'elle un seul instant m'étais devenu comme insupportable. Je fermais mes prunelles dorés pour humer son odeur, elle sentait tellement bon, elle portait toujours cette odeur de fraise, un véritable bonheur, toujours le même shampooing. Elle avait une odeur indescriptible a mes yeux, elle était unique, tout ce qu'elle était la rendait unique. Je devais lui parler d'un sujet terriblement important. Je pris sa main dans la mienne, l'attirant contre mon torse pour l'amener jusqu'au salon. Je l'embrassais avec amour, avant de la faire s'assoir sur mes genoux une fois assis sur notre canapé.

« Bella on doit parler de ta condition de vie, vu ce qu'il se produit il vaudrait mieux que je... enfin que tu deviennes comme moi, je suis désolé de vouloir te retirer ta mortalité ainsi mais mais... je pense que c'est le mieux pour te protéger, et vu que tout le monde sait ici que les vampires et loups existent tu pourras toujours aller à l'université. Qu'en penses-tu? Je sais que tu tenais a cette année, mais. * Rit * Te rends tu compte que c'est moi à présent qui te tannes pour que tu deviennes comme moi? »

Je n'aurais jamais penser être aussi heureuse surtout vivre une vie d'épouse tout en suivant des cours à la fac. La peur que j'avais du mariage a l'air bien sotte à présent mais l'exemple que j'avais eus du mariage m'avait terrifier. Vivre avec Edward est un pur bonheur, une évidence. Depuis que j'avais gouter au plaisir d'être humaine avec Edward lors de notre lune de miel j'avais voulu rester humaine un peu plus longtemps n'était pas totalement rassasier mais surtout je voulais profiter de lui avant que mon désir pour le sang prenne le dessus. Je me foutais de ma vie humaine seul la peur de ne plus ressentir se que je ressens pour lui avant un bon moment me faisait peur.

J'avais hâte de le rejoindre, de pouvoir être sienne enfin pour l'éternité. Nous avions vécu tellement d'épreuve mais nous avions prouver à tout ceux qui douter en nous que notre amour est plus fort que tout. Jamais je n'avais autant aimer de ma vie et je savais que notre amour continuerait à grandir durant notre éternité. Je ne regrettais pas mon choix loin de là parce que je sais sans qui je peux vivre et sans qui je ne peux pas vivre et une chose est sur c'est que je ne peux pas vivre sans Edward, mon âme soeur. Je sais que nous somme fait l'un pour l'autre et personne ne pourra détruire sa encore moins quand je serais à mon tour une immortelle. Notre amour est inconditionnel aucun mot au monde ne peut décrire la force de notre amour même si certain disent que notre amour est irrationnel mais je me moque de se que les gens peuvent penser parce que je suis fière d'être sa femme, de notre couple, de notre amour.

Nous avions surmonter tellement d'épreuve que nous nous étions fait comme un bouclier ne laissant plus rien n'y personne nous atteindre. J'avais souffert de son absence mais je ne lui en voulais pas d'être partis c'est à moi que j'en voulais parce qu'il souffrait à chaque seconde en ma présence et puis je me demandais ce qu'il pouvait me trouver c'est vrai il est tellement parfait, merveilleux, tendre, doux que à coté de lui je suis complétement insignifiante. J'étais bien contente qu'il ne puisse lire mes pensées si il savait que je le pensais encore il pousserait un grognement.

Cela me brisait le coeur le matin quand je devais partir pour la fac mais je devais jouer le jeux avant que je ne décide vouloir être transformée. La journée était passée assez vite pour une fois et j'avais hâte de rentrer pour le retrouver, me fondre dans ses bras sachant que mon coeur partirait à tout rompre et que mes joues s'enflammerait comme à chaque fois qu'il me faisait se sourire qui me faisait fondre ou me disait un mot une phrase sans compter chaque je t'aime. Je savais que j'avais beaucoup de chance de l'avoir épouser. Tout en rentrant, je pensais à notre vie quand je serais transformée pour dire vrai je pensais de plus en plus à ma transformation. Il y a une chose que je n'avais jamais dit à Edward et si il le savait je pense qu'il me prendrait pour une folle bien qu'il le savait déjà. Il y a une chose que je voulais c'est qu'il me transforma c'était ce que nous avions conclut mais il y a une chose que je voulais le plus c'est que la dernière chose que je veux sentir c'est ses lèvres contre ma peau, ses dents s'enfoncer dans ma chair encore plus sentir son venin parcourir mes veines. J'ouvrais enfin la porte de chez nous le sourire aux lèvres de le retrouver.

Bonjour Monsieur Cullen.

Il m'enlaça tendrement m'attirant contre son torse pour aller sur le canapé. Il m'embrassa avec amour, baiser que je lui rendais avec autant de ferveur mais comme à chaque fois que nos lèvres s'unissaient je perdais totalement la notion du temps. Il me ramena à la réalité m'asseyant sur ses genoux. Caressant sa nuque, je l'écoutais me parler à vrai dire j'étais étonnée de l'entendre me dire qu'il voulait que je me transforme au plus vite lui qui voulait tout le temps repousser la date. C'est vrai que la vie ici était dangereuse et il avait totalement raison ce qu'il ne savait pas c'est que je voulais lui parler moi aussi de ma transformation.

Je...Edward, tu sais que si je voulais rester humaine ce n'est pas parce que j'aime ma condition humaine juste les instants avec toi...Edward, quand comptes-tu me transformer? Je comptais moi aussi te parler de ma transformation avant que tu ne m'en parle. Edward, je ne veux plus attendre, je veux te rejoindre maintenant, tout de suite alors transforme moi maintenant tu as tout ce qu'il faut la morphine et tu es prêt comme je suis prête à te rejoindre.

Je n'avais plus attendre une seule seconde parce que je vieillissait alors que lui rester figer dans ses 17 ans. Mon rêve revenait encore plus dans ma tête mais surtout j'étais prête alors pourquoi attendre alors que lui aussi était prêt à me transformer et pour être honnête temps qu'il était décider à me transformer j'allais en profiter avant qu'il ne change d'avis.

L'éternité allait enfin être notre, je l'avais tant espérer au fond, tant désirer, mais je m'étais trouver vil de penser ainsi, égoïste, mais à présent c'était à notre porter. Un dernier baiser, un dernier regard, une dernière étreinte, humant une dernière fois son odeur que j'avais tant désirer, sentant une dernière fois son cœur battre a tout rompre, caressant tendrement une dernière fois sa peau si douce qui le rendait si fragile, baisant une dernière fois sa mortalité, je me décidais a enfin nous unir jusqu'à la fin des temps.

Longtemps je n'avais pas voulu qu'elle fasse partit des immortels, cela peut paraître bien sot étant donner que je la voulait près de moi, mais j'aurais aimé qu'elle accepte une vie d'humaine, qu'elle daigne vivre et mourir comme moi ou encore Rosalie, nous avions toujours voulu. Je comprenais que ma sœur puisse avoir du mal à l'accepter, hormis nous deux personnes dans notre fratrie ne voulait qu'elle reste immortel. Mes parents prétextaient de vouloir me voir heureux et épanouis, mais surtout ils ne voulaient pas me perdre, parce qu'ils savaient fort bien que si elle venait à disparaître je la suivrais. J'en avais fait l'expérience une fois, cela remontait a peu de temps. Je voulais le protéger de ce que nous étions, et nous sommes partis. J'avais tout abandonner en partant, familles, contact avec la monde, je n'avais qu'un seul et unique but, celui de tuer Victoria, la femelle vampire qui en avait après Bella. Je n'avais point réussis malheureusement, il fallait dire que je n'avais jamais été réellement à mon aise pour traquer, j'aurais sans doute dut me poser cette question avant, mais cela avait été trop tard. Durant ce laps de temps ou ma vie était pire que les enfers, Alice avait eut une vision et elle avait crut voir Bella morte. A ce moment mon monde c'était écrouler, plus rien ne comptait. Je partis donc pour Voltera demander à notre famille royal les Volturi de mettre fin à mon immortalité. Il n'avait guère voulu, pensant que je serais mieux à leur coter, d'une certain façon je devais les remercier à présent, si cela n'avait pas été le cas je serais disparu à jamais dans le néant et l'enfer alors que Bella était en réalité en vie. Elle était venu me chercher. J'avais crus aller au paradis, mais ce n'était que la réalité, elle était bel et bien la. Depuis cette période je ne l'a quittait plus, je ne désirais qu'une chose être lié a elle jusqu'à la fin de nos jours. Alice était heureuse de l'accepter dans la famille, depuis le début de leur entente elles étaient très proche, et Alice l'a très vite considérer comme un sœur, Jasper aussi à mon grand étonnement fut d'accord, prétextant lui qu'ainsi il ne désirait plus la tuer, ce qui n'était pas si sot au fond. Et Emmett la prit dans ses bras en lui disant qu'il désirait qu'elle soit sa sœur. Seul Rose et moi étions réticent, elle aurait désirer une vie d'humaine, avoir un mari, des enfants, des cheveux grisonnant puis blanc, et mourir dans les bras l'un de l'autre. Moi aussi j'aurais désirer cette vie, mais on nous l'avait prise et nous devions vivre ainsi.

Mais à présent j'étais près a ce qu'elle nous rejoigne, non seulement parce qu'elle le désirait plus que tout et que malgré le temps son envie n'avait pas décroit mais bien au contraire. Et puis cette histoire de chasse aux humains, aux vampires et aux loups. Elle serait plus forte immortelle, je pourrais ainsi toujours la protéger mais cela serait moins difficile de tenter de la garder en vie. Cette décision n'était guère facile, j'y réfléchissais depuis notre venu dans cette ville, et aux vues des évènements qui s'étaient produit, cela me paraissais la meilleur des solutions. La veille, durant son sommeil et après qu'Alice soit venu pour la garder, j'étais parti chasser et réfléchir. J'avais préféré le faire étant donner que je savais que j'allais lui parler lendemain de ce problème. J'anticipais sa décision et je ne m'étais pas tremper, elle désirait que je la transforme tout de suite et sans plus attendre. Je savais ce qui l'attendait, trois longs jours de souffrance, mais après cela elle serait immortel. L'acte me paraissais toujours égoïste, mais tant que j'étais d'accord je devais le faire, l'idée de la perdre me rendais fou.

« Bien. Il vaut mieux faire cela au plus vite alors. Je t'aime Isabella Marie Cullen. »

Je la serrais contre moi, humant une dernière fois son odeur d'humaine, la tête poser dans son giron. Je posais ma main sur son sein pour sentir son cœur battre, je la pris dans mes bras, la déposait sur notre lit conjugal, m'allongeait sur elle pour l'embrasser tendrement une dernière fois. Un dernier baiser, un dernier regard, une dernière étreinte, humant une dernière fois son odeur que j'avais tant désirer, sentant une dernière fois son cœur battre a tout rompre, caressant tendrement une dernière fois sa peau si douce qui le rendait si fragile, baisant une dernière fois sa mortalité, je me décidais a enfin nous unir jusqu'à la fin des temps. J'ouvris sa blouse, baisais tendrement son sein avant de sortir mes crocs et de lui dire « Je t'aime. » Je la mordais au niveau de son cœur pour que le venin agisse plus vite, son sang était si bon que j'avais du mal à m'arrêter. Mais je le fis, murmurant au creux de son oreille un pardon, avant de lui administrer de la morphine pour qu'elle souffre le moins possible.

Une simple vie ne suffirait pas pour vivre notre amour pleinement. Je désirais le rejoindre au plus vite juste l'idée de vivre avec lui pour l'éternité m'emplissais d'une joie pur. Parfois je me disais que si il m'avait transformer dès le début de notre relation aucun de nous n'aurait souffert comme nous l'avions été il y a encore quelque mois de cela. Il avait peur de la souffrance que je ressentirais lors de ma transformation mais je connais la vrai souffrance lorsque je l'ai perdu et aucune souffrance au monde n'est aussi puissante que celle que j'ai vécu quand il est partis. Ce trou bayant dans mon coeur qui était là en moi à chaque fois que je respirais, que je pensais à lui ce qui était encore le pire c'était quand j'entendais sa voix bien que sans l'entendre je n'aurais pas pu survivre jusque là. Respirer était devenu une vraie souffrance je n'avais qu'une envie ne plus ressentir cette brulure à chaque respiration. Jacob m'avait aider pour finir par lui aussi m'abandonner finalement je me disais que toute les personnes à qui je tenais finirais par partir. Je me souviens encore lorsque Alice était chez moi la seule chose que je voulais c'était de lui demander si il était là, comment il allait mais cela me faisait trop mal. Je l'avais entendu parler avec mon père pendant que j'étais endormie sur le canapé d'après elle il était au Brésil quelque chose comme ça j'avais qu'une envie retournée me jeter de la falaise pour ne plus ressentir cette souffrance qui était mon bucher depuis plus de six mois. Quand Alice est arrivée pour me dire qu'il était partis en Italie plus rien n'avais de sens, les battements de coeur était de plus en plus douloureux rien que d'imaginer sa perte me tuer à chaque seconde et je savais ce qu'il me restait à faire sans aucune hésitation. J'avais tellement eus peur de ne pas arriver à temps pour l'empêcher de se détruire que j'étais une vraie boule de nerf. Quand je le vis sous le clocher de l'église je n'avais qu'un objectif le sauver à tout pris même si je savais que le revoir aller sans doute me tuer quand je rentrerais sans lui...Quand il m'avait serrer contre lui j'étais de nouveau moi, chez moi et je ne pouvais m'empêcher de sentir son odeur, caresser son visage étant dans l'avion sur ses genoux il ne pouvait me quittait du moins pas encore. Je savais que je ne survivrais pas à une nouvelle séparation surtout si il lui arrivait quelque chose...

Je n'attends que cela mon amour, je t'aime.

Je dois avouer que j'étais très nerveuse maintenant que le moment était venu mais sentir son odeur, sa douceur me rassurer quand il me prit dans ses bras pour me porter sur notre lit afin de s'allonger sur mon ce qui fit encore plus partir mon coeur dans une chamade mais vite calmer par ses lèvres contre les miennes pour un baiser tendre, le dernier de ma vie humaine quand je sentis ses mains caresser ma peau se qui fit battre mon coeur à tout rompre comme toujours quand il me touchait. Il remonta ses mains sur ma blouse pour la déboutonner afin d'y déposer un baiser avant de me dire qu'il m'aimait. J'étais prête c'est alors que dans un murmure je lui dis moi aussi que je l'aimais avant que la souffrance vienne envahir mon être. Fermant mes yeux, je sentis ses lèvres froides contre ma peau pour enfin sentir ses dents transperçaient ma peau sentant le venin parcourir mes veines. Je croyais que je ne pourrais plus rien entendre mais je sentis son souffle au creux de mon oreille me demander pardon, je savais qu'il allait s'excuser encore même si c'était mon choix.

Je ne voulais pas qu'il souffre avec moi c'est pourquoi j'essayais de ne pas crier de douleur mais le feu en moi, le bucher qui était mien était bel et bien là. Mes mains s'agripper au drap pour éviter de crier et de bouger ayant peur de souffrir encore plus mais surtout de le faire souffrir lui parce que pour moi seul lui compter et puis dans moins de trois jours cette souffrance disparaitrait ce qui nous permettrait d'être réunis enfin pour l'éternité.

L'éternité allait devenir notre, notre amour allait être encore plus fort, notre passion encore plus pur, notre tendresse encore plus merveilleuse, mais surtout nous allions être unis jusqu'à la fin des temps. L'amour est plus fort qu'on ne le croit, il est indescriptible, et dans notre cas l'amour est plus fort que tout, il n'y a pas de mots pour dire tout ce qu'on ressent l'un pour l'autre, aucun mots n'est assez fort, aucun baiser n'est assez doux, encore étreinte n'est assez passionné, sauf les nôtres. Personnes ne pourra jamais ressentir ce que nous nous ressentons.

Cette douleur sur son visage, ses traits qui se crispent, cette prise sur les draps, tout cela me fendais mon cœur mort. Je souffrais avec elle, même si je me doutais qu'elle se retenait pour que je ne souffre pas de trop. Elle était réellement parfaite, elle était mon ange. Elle m'était tombé dessus sans crie égard, elle avait illuminé ma vie dès qu'elle y était rentrer mais je ne l'avais pas remarqué au début. Très vite je m'étais rendu compte toutefois que je l'aimais plus que tout, je n'avais qu'une envie celle de la protéger malgré le faite qu'au début je ne désirais l'approcher que pour prendre soin d'elle, mais très vite je ne pus continuer ainsi, je devais lui dire, être près d'elle, l'embrasser, tout cela m'avait tellement asséner durant des mois que j'avais finis par tout lui dire, et nous étions enfin ensemble, tout cela était réciproque et j'avais enfin trouvé la femme de ma vie. Parfois lorsqu'elle dort, je souris, me disant que j'ai mis 107 ans à trouver la femme que j'aime, c'est assez sot mais au fond si j'aurais du attendre plus de mille ans et sachant qu'enfin je trouverais l'amour je l'aurais attendu, parce qu'il n'y a rien de plus beau que d'aimer mais surtout d'être aimer.

Bella souffrait depuis plusieurs heures déjà, cela me paraissait une éternité, je souffrais avec elle, la gardant précieusement contre moi, murmurant des mots doux aux creux de son oreille et baisant son front. Je ne savais pas quoi faire pour qu'elle souffre moins, la morphine n'agissait pas, je le savais au fond, il n'y a rien de plus dur que d'endurer ce moment ou l'on passe de la mortalité à l'immortalité. J'étais moi aussi passer par la, je m'en souvenais comme si j'avais été transformé la veille. C'était durant l'année 1918, j'étais mourant de la grippe Espagnol, ma feu mère était décédée quelques heures plutôt, malgré le faite que nous n'étions pas a coter l'un de l'autre je l'avais senti, c'est quelque chose qu'on ne peut pas comprendre quand on a personne de proches qui est décédé, mais une fois que c'est le cas, quand le moment fatidique approche, un ressent une douleur, ou quand cela se produit on a une douleur qui déchire notre cœur. Je l'avais ressentis lorsqu'elle décéda, j'étais malade, fiévreux, mais je l'avais senti. La douleur était pire que tout, pire que la maladie, celle qu'on ressent quand quelqu'un décède est pire que tout, quand on l'a connait, on sait que c'est parce qu'une personne qu'on aime s'éteint.

Je continuais à souffrir, la fièvre me gagnais de plus en plus, mais lorsque le médecin vint m'annoncer la nouvelle que je connaissais déjà au fond, je ne trouvais plus le courage de me battre. Tout était terminé pour moi aussi, je ne voulais plus vivre alors que mon père et ma mère venait de décéder. A cela s'ajoute une ombre au tableau, j'avais l'impression d'avoir occulté quelque chose de ma vie, mais je n'avais jamais su quoi. Cela m'avait longtemps rendu malade, mais à présent, depuis que je connais Bella, je n'y pensais plus, jusqu'à aujourd'hui. La souffrance était atroce, lorsque le médecin me dis qu'il pouvait me sauver. Je sentis son souffle froid contre ma peau, sa peau gelé et dur comme le marbre, mais je n'avais qu'une envie c'est que le moment dur encore un moment car je me consumais. Le moment arriva, il mordit mon cou et c'est ainsi que commença la véritable douleur, mon cœur se mit à battre à tout rompre, une douleur affreuse m'avais envahi dans tout mon être, la circulation même de mon sang me semblait douloureuse, je ne pouvais plus respirer, les battements de mon cœur résonnait dans mes oreilles, et j'avais l'impression que ma tête allait exploser.

Je la prenais dans mes bras de nouveau, cela faisait un moment que nous étions ainsi mais je voulais qu'elle sache que j'étais près d'elle, et près à l'aider pour endurer sa douleur. Je savais fort bien que ce n'étais pas grand chose mais je tenais à le faire. Continuant à lui murmurer des mots doux je commençais à lui chanter au creux de l'oreille sa berceuse, celle qui l'endors toujours, celle que j'avais écrit pour elle, celle qui avait sceller notre amour. Dans quelques heures nous allions enfin être ensemble pour l'éternité, je savais qu'a ce moment notre amour allait être encore plus fort, encore plus doux. Je l'aimais avec une tel passion que parfois même je me disais que tout cela était irrationnel. Mais je le savais, depuis toujours je savais que c'était elle, et à présent tout allait devenir réalité.

« Je t'aime tellement Bella, tellement. »

Le bucher qui était miens à présent n'était rien vu que cela ne durerait que trois jours pour enfin pouvoir vivre le grand amour avec Edward pour l'éternité. J'attendais se moment depuis tellement de temps que je pensais que jamais se moment arriverait. Je savais ce que je voulais et c'était le rejoindre pour l'éternité parce que une seule vie ne suffirait pas pour vivre notre amour. Je savais qu'il était mon âme soeur et que rien n'y personne ne pourrait nous séparer encore moins quand je serais immortelle comme me l'avait dit Edward je serais plus forte ce qui était un avantage pour tuer a qui voudra me l'enlever.

Je ne pouvais hurler ma douleur pour ne pas le faire souffrir mais cette douleur affreuse qui envahissait tout mon corps m'empêcher de réagir. J'étais troublée par l'enfer qui essayais de m'attirer à lui j'avais vraiment envie de le rejoindre pour ne plus souffrir mais je ne le pouvais pas parce que je ne pouvais pas abandonner maintenant alors que notre vie éternel était sur le point de commencer surtout que je ne pourrais pas vivre sans lui c'était une évidence. Je ne voulais pas qu'il souffre avec moi et puis je pensais que garder cette souffrance pour moi, éviter de bouger m'aiderais à contrôler cette souffrance, cette brulure.

Mon coeur faisait des soubresauts de plus en plus fort. Je suppliais pour que le feu disparaisse, que je le retrouve enfin mais je n'étais qu'au début de ma souffrance sur mon bucher. J'avais l'impression que ma tête aller exploser, que chaque partie de mon corps bruler petit à petit...Malgré la douleur j'essayais de me concentrer sur lui séparant la douleur pour me concentrer sur sa voix l'entendant me dire des mots doux, chantant ma berceuse ce qui m'aider à tenir. Je comptais mentalement les minutes, les secondes que dirais mon enfers qui bientôt serait terminer pour être à ses côtés pour l'éternité vivant notre amour sans aucune limite.

Je me demandais ce qu'il allait faire maintenant que j'allais devenir comme lui...Il ne devrait plus veillez sur moi et puis mon odeur ne serait plus la même sans oublier que je serais moins souple, moins moi...J'avais peur qu'il se trouve une nouvelle occupation parce que veilliez sur moi en était une. Je n'allais plus être maladroite, rougir...Ce qui me faisait peur c'est qu'il m'aime moins, que je l'attire moi ou qu'il n'aime pas ce que je serais parce que je sais que mon apparence physique allait changer et si il me trouvait moins belle?

Je ne sais pas combien de temps cela faisait mais j'arrivais à distinguer de tout petit bruit qui venait de dehors, une mouche voler sans oublier la moindre petite particule qui environner la pièce. Je sentais une chaleur différente, chaude autour de moi ce qui était nouveau pour moi puis un soubresaut plus vif fit bondir mon coeur, un dernier battement puis plus rien. J'ouvris les yeux fixant le plafond désarçonnée par la texture et la chaleur de la peau qui tenait ma main sans comprendre ce qu'il se passait je me retrouvais de l'autre coté de la chambre pouvant voir chaque particule de poussière invisible pour une humaine.

« . Mon amour, l'éternité est à présent notre, tu es mienne à jamais et je suis tien pour l'éternité. Jamais ne n'aurais crus être si heureux que tu sois devenu une immortelle. Tu es toute ma vie, mon seul et unique désir était de rester avec toi pour la vie, grâce a ta persuasion mon rêve va durer toute l'éternité. »

Jamais je n'aurais crus autant souffrir avec elle, je ne comprenais pas parfois ce lien qui nous liait mais il était si fort, si unique. Parfois même je me demandais si nous pouvions nous séparer une seule seconde, comme si c'était un déchirement. Je me souvenais du jour ou elle m'avait dit de trouver un nouveau centre d'intérêt, j'avais rit intérieurement, elle était si adorable, elle me faisais tellement craquer avec son fort caractère, c'est à ses moments la que je l'aimais de plus en plus. Les moments ou elle se montrait rebelle, les moments ou elle était si mature, mais aussi les moments de tendresses, j'aimais tellement tout nos moments, je me rendais compte que lorsque je n'étais pas avec elle je souffrais, mais surtout je ne vivais plus. C'était comme si le temps s'arrêtait, comme si plus rien n'avait de sens, le monde, mon monde, ou plutôt devrais-je dire notre monde ne tournait plus rond. Je me souvenais du jour ou pour la première fois je l'avais amené à la clairière, ce moment était si magnifique, je n'aurais jamais pensé que tout cela serait possible, que l'on soit proche si vite, mais sa a été le cas. Ce moment était si intense, si doux.

Nous étions arrivé ici très tôt dans la journée, j'étais venu la chercher chez elle alors que son père était parti pêcher. J'avais mis un gilet marron col V et lorsqu'elle m'ouvris je m'aperçus que nous étions assortis, elle aussi avait un gilet marron ce qui me fis esquissé un sourire. Nous étions partis avec son vieux Chevrolet rouge, nous devions partir à Seatle, je ne désirais pas qu'elle s'y rende seule, j'avais trop peur qu'il puisse lui arriver quelque chose, je devais admettre que depuis que je l'a connaissais je ne pouvais me séparer d'elle, inconsciemment je me l'étais longtemps cacher mais je le savais au fond. J'avais donc réussis a la convaincre de partir ensemble, mais évidement elle avait émis des conditions, ce qui m'avais fait sourire, ce qui je devais dire à l'époque était fort rare. Nous arrivèrent la bas, c'était mon endroit préféré, j'avais passer de longues heures à écrire des lignes dans mon journal et j'allais enfin partager ce moment avec quelqu'un. Je me mis près d'elle, posais ma tête sur sa poitrine, humant son odeur, c'est a ce moment que je compris qu'elle était mon bonheur. C'est dans cet endroit que nous avions échanger notre premier baiser, je regrettais cette clairière, mais j'avais décider de lui faire une surprise, celle de trouver une clairière cacher comme celle ci l'était, et de la rendre le plus identique possible à la notre.

Sa douleur atteignait le plus haut point, cela faisait à présent trois jours qu'elle souffrait, je savais que nous approchions de la fin. Je posais ma tête contre sa poitrine pour entendre les derniers battements de son cœur, j' humais son odeur, je léchais une goutte de sang, puis plus rien. Son cœur avait cesser de battre, elle était devenu immortelle.

EDWARD ▬ « Bella, mon amour? Es-tu la? »

J'étais inquiet qu'elle n'est pas ouvert ses prunelles auparavant noisettes, mais je savais qu'a présent elle allait être bordeaux. Je savais toutefois qu'elle allait être encore plus belle qu'avant, c'est à dire a couper le souffle car je ne connaissais personne de plus belle que mon amour de femme. Elle était si belle avec son visage en forme de cœur, si douce, si frêle et si fragile. Elle le semblait toujours bien que je savais que ce n'était plus le cas. Elle ouvrit enfin ses prunelles, je lui souris, j'étais tellement heureux qu'elle soit avec moi, qu'elle ne souffre plus. Elle était encore dans mes bras lorsque je m'approchais de son visage pour baiser ses lèvres tendrement avant de lui murmurer :

EDWARD ▬ « . Mon amour, l'éternité est à présent notre, tu es mienne à jamais et je suis tien pour l'éternité. Jamais ne n'aurais crus être si heureux que tu sois devenu une immortelle. Tu es toute ma vie, mon seul et unique désir était de rester avec toi pour la vie, grâce a ta persuasion mon rêve va durer toute l'éternité. »

Ma vie d'humaine n'était pas très intéressante avant que je le rencontre. Ma vie n'a pris un sens que le jour où mes pauvres yeux d'humaines ont croisaient les siens ce jour là ma vie a changer j'ai su qui j'étais mais surtout où était ma destinée le plus important était avec qui. Je me souviens du jour où j'ai pris conscience de ce qu'il était mais je m'en fichais parce que je l'aimais comme personne au monde n'a jamais aimer. Cela pouvait paraître prétentieux mais c'est vrai aucun amour est aussi puissant que le notre et sa personne ne peu dire le contraire. Mon coeur n'avait commencer à battre qu'avec lui et il finirait de battre pour être avec lui ensemble pour l'éternité.

J'avais enfin obtenue ce que je voulais être avec lui pour l'éternité mais surtout que se soit lui qui me transforme. Nous avions eus bien des disputes à se sujet ce qui à fini par un compris et pas n'importe lequel. Je me souviens de ce soir où nous avions conclus tout nos accords. Alice avait réussis à convaincre mon père de me laisser dormir chez eux prétextant qu'elle ne voulait pas rester toute seule mais en vérité elle allait chassez avec le reste de la famille laissant la villa rien que pour lui et moi. J'avais refuser de l'épouser pas parce que je ne le voulais pas mais parce que ce n'était pas moi, que les filles de mon âge qui se marie sont enceintes ou autre mais lui disait que dans son monde cela voulait dire je t'aime. Il m'avait dit qu'il voulait que je vive toute les expériences humaine possible avant ma transformation et je savais laquelle je voulais vivre. Il m'avait laisser conduire jusque chez lui hors il n'aimait trop ma lenteur ce qui le faisait rire mais pas là. Il sortis de la voiture pour m'embrasser, me prenant dans ses bras tout en me portant jusqu'à la maison sans rompre notre baiser c'est alors que j'avais crus que j'arriverais à obtenir se que je voulais bref nous étions monté dans sa chambre comme je le voulais bref j'étais nerveuse parce que je ne savais pas comment le lui dire et encore moins comme on faisait pour séduire. J'essayais de le piéger en lui demandant si il était d'accord pour m'offrir la dernière expérience humaine que je voulais vivre c'est alors qu'il m'avait dit qu'il m'offrirait tout ce que je voulais mais je ne savais pas comment lui dire c'est alors que je m'étais mise à rougir comme toujours alors je me mis à genou sur le lit, crochetant sa nuque et l'embrassa tendrement mais je devais lui faire comprendre c'est alors que j'avais déplacer mes mains sur son torse pour déboutonner sa chemise avec mes faibles mains qui tremblaient. Il a très vite compris ce que je voulais vivre c'est alors qu'il me repoussa et me dit un nom sans appelle j'avais eus un sentiment de rejet mais je savais que c'était pour me protéger. J'avais finalement fini par le convaincre en l'embrassant de nouveau quand à lui il ne m'avait jamais embrasser et caresser le corps comme ça avant je pensais tenir le bon bout quand il me dit pas ce soir! Je ne comprenais pas trop pourquoi quand il me dit qu'il ne voulait pas avant que nous soyons marier c'est ainsi que nous avions conclus notre accord. J'avais était bien sotte d'avoir peur du mariage parce qu'à la seconde où mon père à poser ma main sur celle d'Edward, j'ai su que j'étais à ma place mais encore plus quand il a dit oui c'est alors que j'ai compris que je serais sienne pour l'éternité et qu'il serait miens à jamais plus personne ne pourraient nous séparer.

J'avais du mal à comprendre se qui ce passer autour de moi parce que tout était si nouveau comme cette brulure dans ma gorge, ses odeurs étranges que je ne sentais pas avant d'être une immortelle. J'avais réagis bêtement c'était lui, mon amour qui me tenait contre lui mais j'avais tellement eus l'habitude de sentir sa peau froide, dur comme du marbre que la chaleur de sa peau, sa douceur me surpris. Il arriva vers moi s'approchant de mon visage pour m'embrasser tendrement. C'est là que j'ai repris le contrôle de moi même, il n'y avait que lui, sa douceur ainsi que ses lèvres.

-Je t'aime tellement mon amour pour l'éternité, une éternité qui nous est enfin offerte. Pardonne moi pour ma réaction démesurée j'étais déboussolée tout est si nouveau mais au moins je suis devenue jolie enfin je l'espère.

Je me mis à rire c'était plus facile maintenant que je commençais à m'adapter un peu plus à la situation. Je n'avais qu'une envie l'embrasser c'est ce que je fis enroulant mes bras autours de sa nuque, je l'embrassais fougueusement. Notre baiser était différent mais surtout venant de lui parce que maintenant nous pouvions nous aimer sans aucune peur, aucune restriction parce que ma condition humaine n'était plus là laissant place à une vie éternel avec lui.

« Pour en avais-je toujours voulu à ma condition de vie? A présent que l'éternité était notre j'étais heureux. Jamais je n'aurais pus croire être aussi heureux en étant un vampire. Jamais je n'aurais pus croire qu'au bout de 109 ans d'existence j'allais enfin être heureux et épanouie. »

J'avais tant redouter ces jours, ces moments. J'avais tant espérer qu'elle finisse par céder, qu'elle désire vieillir et mourir comme cela aurait du se produire. Évidement je me serais tué après sa mort, puisque j'avais compris que ma vie ne valait pas le coup sans elle, mais j'avais eut tord sur toute la ligne, j'aurais dus accepter dès le début, cesser d'être buter et comprendre. Avais-je peur du bonheur? Peur qu'on nous le retire? Sans doute. Mais à présent j'y goutais, il avait un goût exquis sur mes lèvres et jamais plus je ne pourrais le quitter. Je comprenais à présent pourquoi ma douce épouse l'avait toujours voulu, c'était un moment tellement magique, j'avais même l'impression d'être comme dans un rêve, alors que je n'avais songer depuis plusieurs années, depuis que je n'étais plus humain. Un bonheur m'envahissait, un bonheur si grand que je me demandais comment cela pouvait être possible, je n'avais jamais été aussi heureux ce qui me surpris. J'avais l'impression que mon cœur s'était remis à battre, Bella m'avais tellement rendu humain mais je ne pensais pas qu'elle avait réussis a se point. Elle était mienne à présent et cela pour l'éternité, pourtant j'avais l'impression d'être plus humain que jamais en ressentant tout ses sentiments, tout cet élan d'amour que j'avais a son égard, à chaque secondes qui passaient je l'aimais de plus en plus, je ne le comprenais pas mais je m'en moquais, seul notre bonheur pur, et si parfait comptait et je ne comptais plus le gâcher, même pas un quart de secondes.

Je me souvenais encore de toute ses disputes qui me paraissait si futile à présent, toute ses remises en questions, tout ses moments de solitudes, toute ses réflexions, toute ses pensées dans ma tête qui m'empêchais de vivre notre bonheur, toute ses pensées sombres et lugubres, pensant que jamais cela, notre amour, serait possible, comme si un nuage sombre planait au dessus de ma tête et que lorsqu'un seul rayon de soleil filtrait il le réduisait en bouillie pour m'infliger de nouvelles souffrances. Je n'avais pas accepter notre amour au début, cela avait inquiéter ma famille qui ne comprenais pourquoi je refusais ce bonheur qui n'étais enfin donner. J'avais été seul durant plus de 90 ans et ma famille désespérait de me voir un jour heureux quand elle entra enfin dans ma vie. Je me souvins de se premier jour ou je l'avais rencontrer. La première fois fut à la cafétéria, elle était attabler avec des nouvelles connaissances, j'entrais après mes frères et sœurs pour faire mines de manger et d'être comme tout le monde, et c'est a ce moment que pour la première fois mes prunelles se posèrent dans les siennes. Je ne la connaissait guère mais j'en savais déjà assez sur elle, toute les pensées de l'humain moyen allait sur elle, a sa beauté, sa timidité, et au faite qu'elle ne désirait pas qu'on la nomme Isabella. J'en savais suffisamment sur elle pour croire qu'elle était insignifiante comme toute les autres, mais un détail clochait, je ne pouvais percer ses pensées, je n'entends rien émanant d'elle. Cela m'avait longtemps chagriné jusqu'au moment ou elle arriva en Biologie et qu'elle vint s'installer à mes coter. J'avais crus ne jamais pouvoir tenir, j'avais même penser à la façon de tous les tuer les uns après les autres, l'odeur de son sang m'attirais tellement, sa peau, les battements de son cœur, tout ce qui émanait d'elle m'attirais inexorablement. J'avais donc fuis ce coup de foudre durant une semaine, fuis ce qu'elle était et qu'elle me faisais devenir. J'étais partis pour l'Alaska, ne désirant plus jamais revenir, mais ma famille me manquais mais surtout elle, je désirais la revoir, comprendre, la déchiffrer pour me prouver qu'elle était comme toute les autres, une simple mortelle. En réalité je ne le savais déjà mais j'étais tombé en amour pour elle dès le premier regard, et c'est ainsi que notre magnifique et tumultueuse romance avait commencer.

En repensant a tout cela je me disais que nous avions eus beaucoup de moments de doute, mais nous nous étions retrouver car notre amour était bien plus fort que tout le reste. Personne ne pouvait ressentir ce que je ressentais à son égard, tout était tellement facile lorsque j'étais avec elle, seule un détail n'allait pas sa condition d'humaine, mais à présent nous avions eut tout les deux ce que nous attendions de l'autre, et finalement nous attendions la même chose mais nous l'exprimions de façons différentes. Nous nous voulions le restant de nos jours, c'est ce qu'elle avait exprimer par son souhait de l'immortalité et c'est ce que j'avais exprimer sous le désir de nous marier. A présent nous avions tout les deux ce que nous voulions, nous n'avions plus besoin de rien hormis de l'un et de l'autre. Toujours contre moi nous nous embrassâmes enfin sans retenus, nous étions près à nous bondir dessus, mais je me stoppais pour lui sourire et lui dire au creux de l'oreille :

EDWARD ▬ «  Mon amour, tu devrais avoir faim, nous devrions aller à ta première chasse, fais moi confiance. »

Je la pris dans le creux de mes bras pour l'amener dehors et la poser pour prendre sa main. Je lui souris en lui montrant la direction que nous allions prendre, celle de la forêt pour qu'elle puisse se nourrir pour la première fois.

M'adapter à ma condition d'immortelle était moins difficile que je le pensais même si je n'étais pas très sur de se que je devais faire mais encore moins comment réagir. Je ne savais pas trop comment gérer mes émotions tellement tout se bousculer dans ma tête. Tellement de chose prenait vie en même temps alors qu'humaine je ne pouvais pas pensez à autant de chose à la fois. Je ne pensais pas que j'aurais le droit de ressentir se que je ressentais pour lui là en se moment alors que normalement j'aurais du être obnubilée par le sang mais surtout par l'envie de tuer. C'était étrange ce désir de lui était encore plus fort que lorsque j'étais humaine surtout quand il me touchait comme il venait de le faire sans oublier le baiser dénuer de peur qu'il venait de me donner provoquer en moi un courant électrique qui parcourait chaque infime partie de mon être. Je savais qu'à se moment précis mon coeur aurait du battre une chamade qui aurait enflammer mes joues. Je n'arrivais pas à croire que je pouvais encore plus l'aimer que je ne l'aimais déjà d'un amour inconditionnel même irrationnel.

Une question me trotter la tête est-ce qu'il pouvait enfin lire mes pensées? Je me demandais si maintenant que j'étais immortelle ce blocage mentale qui me venait de je ne sais où était encore en moi...Je me demandais si moi aussi j'aurais un pouvoir comme celui d'Edward ou d'Alice mais je m'en fichais parce qu'il y avait un pouvoir que personne mais surtout aucun vampire ne pourraient avoir comme pouvoir c'est d'aimer Edward comme je l'aimais d'un amour tellement fort que personne n'a jamais aimer aussi fort dans toute l'histoire du monde. Je peux paraître égoïste ou prétentieuse mais pour moi aucun amour n'est aussi puissant que le notre, j'en était sur.

J'avais beaucoup de mal de me détacher de lui, de ses lèvres, de ses bras mais surtout de notre baiser si enflammer à croire que c'était là notre premier baiser. J'avais envie de plus, oubliant la brûlure qui avait envahis ma gorge depuis quelque minutes. Lorsqu'il stoppa notre baiser, il me fallut quelque seconde pour reprendre le dessus mais surtout retrouver mes idées claires. Il voulait que nous allions chasser mais je n'avais jamais chasser ce qui m'horrifier plus que tout ne sachant pas comment m'y prendre. Dans le creux de ses bras, j'avais peur de ne pas être à la hauteur. Tout en allant dans la forêt, je réfléchissais à comment je pourrais m'y prendre pour ne pas lui faire honte mais surtout le décevoir. Nous arrivions au coeur de la forêt qui se trouver derrière le loft où il enfin nous pouvions chasser comme nous le voulions sans avoir peur qu'un humain vienne dans les parages. Je me retournais vers lui la peur dans les yeux ayant peur d'être ridicule à ses yeux alors qu'il avait enfin accepter que je le rejoigne pour l'éternité.

« L'amour est un bien grand mot, dans le dictionnaire il a la définition suivante : Sentiment qui nous entraîne vers un être, vers une chose. Je ne les connaissais guère avant de la connaître, je ne les avaient jamais ressentis, ne les ayant lus que dans des ouvrages, mais lorsque pour le première fois je le vis, je pus ressentir ce que cela signifiait. Le premier jour de notre rencontre je crus la haïr, mais tout cela était bien faut, je la désirait plus que tout, cette passion que j'avais pour elle m'avait tellement tourmenter qu'elle m'avais rendu fou, je crus que je devenais fou a cause de son odorat, pur calomnie! Je n'aimais qu'elle dès que j'eus croisé son regard, dès que j'eus poser mes prunelles si sombres et enflammé par le désir que je ressentais pour elle. Son odeur, son regard, ses rougeurs, elle m'avais rendu fou, fou au point de vouloir la tuer pour ne plus la désirer, seulement à chaque secondes ce désir devint plus grand, que je m'enfuis. Sans m'en rendre compte j'avais fuis ce que j'avais toujours espérer, trouver l'âme sœur. Quel sot je fus ce premier jour. »

A présent elle était mienne, j'étais sans doute l'homme le plus heureux du monde, surtout à cet instant sachant que je n'aurais plus a me soucier de savoir si elle allait tomber, ou si elle pouvait avoir un accident. Je ne lui avais jamais dit mais j'avais toujours eus peur qu'il lui arrive ne serait-ce qu'un froissement de muscles, ou une jambe casser. J'avais eus en permanence peur pour sa vie, peur qu'elle est un accident, peur qu'elle disparaisse, peur de la perdre. C'était la même peur au fond que j'avais eus la première fois que je l'avais vu, cette peur de m'avouer les sentiments que j'éprouvais pour elle, la peur de l'aimer, mais je n'avais pus luter contre et depuis j'étais heureux, encore plus heureux à présent qu'elle était immortelle. J'avais toujours fuis le bonheur alors que je pouvais l'avoir depuis le début, mais je l'avais enfin ses questions et ses ressentiments, ses doutes n'avaient plus lieu d'être. Évidement ce n'étais pas non plus pour fuir le bonheur ou avoir peur de le perdre mais aussi parce que je ne voulais pas qu'elle perde son âme pour moi. Cela peut paraître peu commun mais je croyais en la religion, et j'y crois toujours.

Malheureusement malgré le faite qu'elle soit devenu immortelle je ne pouvais toujours lire dans ses pensées, cela me perturbais mais Bella était exceptionnelle j'aurais sans doute du m'en douter. Avec un léger sourire, je la regardait, elle était magnifique, si elle se regardait dans la classe elle ne se reconnaîtrait sans doute plus, mais pour moi c'était elle, c'était ma Bella, ma raison de vivre, c'était encore plus elle. Bella avait eut raison sur toute la ligne le jour ou elle m'avait dit que mon monde était le sien, une fois transformer je m'en rendis compte moi aussi, elle aurait du naître ainsi, elle était parfaite, elle se sentait enfin normal. J'eus un léger rire, comment peut on croire être normal en étant immortel? Elle était réellement rare, je n'en doutais plus depuis bien longtemps.

Je l'avais déposer dans l'herbe depuis un moment, cela allait être sa première chasse, je pouvais lire la peur dans ses prunelles, je m'approchais d'elle, baisant son front avant de lui murmurer au creux de l'oreille :

EDWARD ▬ « N'ai pas peur mon amour, tout va bien se passer ma Bella. »

Je lui souris et je ris. Elle était bien plus forte et elle allait sans doute m'écraser plusieurs fois avant de ne pouvoir gérer sa force. La serrant contre moi je humais son odeur, elle n'avait pas tellement changé, pour moi elle était toujours la même celle de mon tendre amour. Toujours souriant je posais ma main sur son épaule avant de baiser sa nuque tendrement. Je me souvenais de ma première chasse, cela ne c'était pas réellement bien passer, la pauvre bête avait bien souffert. Je m'étais jeter dessus et je la vidais de son sang alors qu'elle vivait encore, elle avait dut souffrir réellement. Carlisle m'expliqua la nécessiter de tuer la bête avant de ne boire son sang, sinon c'était un acte véritablement sadique et il avait raison. Je le tournais devant moi, relevant son menton avec mon index pour fixer son regard :

EDWARD ▬ « Tu dois savoir que la première règle est de tuer la bête avant de ne s'abreuver, sinon elle va souffrir. En premier lieu tu vas fermer tes magnifiques prunelles et ressentir, écouter tout ce qu'il y a autour de toi. Tu dois te fondre dans la nature, ne faire qu'un avec, tu comprends? Pour la première fois il faut sans doute mieux que tu attaques une biche. Aller, concentres toi et fermes tes prunelles. »

J'avais toujours voulu voir Edward chasser mais me dire que je devrais chassé cela me fit paniquer. Toutes les fois où il s'était absenté pour aller chasser me laissant seule à la maison. Maintenant que j'étais devenue une immortelle j'allais enfin savoir ce qu'était vraiment ses randonnées que j'avais toujours voulu voir Edward chasser mais je ne savais pas si mes pauvres yeux d'humaine auraient été capable d'en apprécier le spectacle. Je pouvais imaginer ses bonds gracieux qui me faisant penser à un serpent sinueux sans parler de ses mains mais surtout ses lèvres parfaites...Edward avait raison bien que j'avais changer physiquement, que j'étais plus belle certainement enfin je l'espérais pour lui et bien j'étais toujours moi mais en plus jolie. A cette instant, je me demandais si il pouvait lire dans mes pensées maintenant que j'étais comme lui...J'aimais qu'il ne puisse pas lire dans mon esprit bien que lors de notre lune de miel j'aurais aimé qu'il puisse y accéder pour qu'il arrête de s'en vouloir de ce qui c'était passer même si nous savions que cela risquer d'être très dangereux. Penser à notre lune de miel me donna l'envie de rougir et j'étais contente de ne plus pouvoir sinon il m'aurait demander à quoi je pensais alors je me serais mordue les lèvres comme à chaque fois que j'étais nerveuse. Je ne pensais pas que j'éprouverais rien de tel pendant très longtemps. Or, je le désire encore même plus qu'avant j'avais peur de rompre le contrat. Rosalie m'avait dit que la seule chose que je désirerais était le sang mais pas moi ce qui me fit rire j'étais déjà étrange étant humaine maintenant que j'étais une immortelle je l'étais tout autant. J'avais eus peur de ne pus pouvoir l'aimer, le désirer comme lorsque j'étais humaine trop attirée par l'envie de tuer, par l'envie du sang...Là encore nous étions en train de prouver que notre amour est plus fort que tout.

Je l'écoutais m'expliquer ce que je devais faire mais j'avais surtout peur de ne pas être à la hauteur. Fermant les yeux, j'écoutais les moindres bruits. Je libérais mes sens, un peu tendue. Une nouvelle peur pris par en moi et si un humain venait se promener alors que j'étais en pleine chasse? J'avais peur de l'attaquer, de le tuer...Soupirant, j'essayais de me calmer parce que je savais qu'Edward ne me laisserait pas tuer un innocent surtout qu'il me l'avait promis alors que nous étions en pleine discutions dans ma chambre, chez Charlie...Pensée à mon père me faisait mal, très mal même si je ne pouvais plus pleurer je pouvais sentir mon coeur se lacérait. Il me manquait tellement ainsi que ma mère et Phil...Je ne devais pas penser à eux maintenant alors que je devais me concentrer pour chasser. M'enfonçant dans la forêt de plus en plus à l'affût d'un bruit, d'une odeur de sang susceptible d'arrêter cette brulure dans ma gorge desséchée. Continuant à marcher, je finis par détecter à l'est une odeur qui me donna l'eau à la bouche bien que son odeur était horrible, le sang que je sentais coulé dans ses veines ne l'était pas. Ouvrant les yeux, je filais dans cette direction guidée par l'odeur mais surtout par mes sens aiguisées. Je courrais telle une chasseuse, grimpant aux arbres sans aucune difficulté afin de mieux voir ma proie quand je la vis enfin sans faire aucun bruit je lui sautais dessus tombant tout deux par terre. Je n'étais pas aussi douée qu'Edward mais le duel fut plus facile que je ne le pensais. Son poids ressembler à celui d'une plume quand a sa résistance qu'il m'opposa était d'une faiblesse totalement pitoyable. Sans m'en rendre compte ma mâchoire chercher sa gorge pour finalement la trouver et se refermé à l'endroit exacte où le flux de sang se trouvait. J'avais l'impression de mordre dans du beurre tellement mes dents avaient facilement transpercer le poil, la graisse pour finir par les tendons. Le gout était horrible mais la chaleur du sang effacer la brulure dans ma gorge c'est pourquoi je bus de longs traits afin de m'apaiser. Levant les yeux, Edward était là sans rien dire me contemplant. Je jetais un coup d'œil sur mes vêtements pour m'apercevoir que j'étais pleine de terre et les cheveux en batailles.

Je reconnais que j'aurais pu être plus soigneuse...

J'étais couverte de sang mais je m'en fichais tout ce qui compter était l'avis de mon mari espérant ne pas trop l'avoir déçu...Finalement ce n'était pas si horrible que je ne le pensais mais j'étais moins expérimentée aussi bien que tuer ce pauvre gibier me faisait mal mais je préférais un pauvre animal qu'un humain ayant une famille. J'espérais qu'avec le temps je finirais pas être plus soigneuse mais aussi plus douée espérant que nous pourrions chasser ensemble lui et moi sans qu'il ait à me surveiller bien que j'aimais le faite qu'il continue à veiller sur moi bien que j'étais maintenant moi même une immortelle.