Emménagement |PV Lauren

Il faisait chaud, l'été avait pointé le bout de son nez depuis un petit moment, depuis le temps qu'il vivait ici toutefois il ne s'y était pas franchement habitué. A chaque réveil il se croyait à Londres. C'est la bas qu'il vivait alors qu'il était jeune, il y a longtemps vécu mais par la suite il est partir vivre au New Hampshire loin de tout, loin de sa famille. Parfois il le regrette mais plus à présent, son seul point d'attache la bas est mort et à présent il n'y plus personnes de sa famille hormis son frère mais ils ne s'adressent plus la parole depuis bien longtemps.

Il dormait encore, il faisait toujours le même rêve, ou plutôt cauchemar, la falaise, Lawrence, Emilie et lui, tout les trois réunis la bas comme tout les soirs après les cours. Ils passaient énormément de temps ensemble depuis toujours, ils étaient très proche et les deux frères aimaient beaucoup Emilie tout les deux. Ils la considérait comme une sœur mais un drame se produisit ce jour la, un drame qui rompus le lien qu'il y avait entre les deux frères. Le soleil frappais au zénith, John & Lawrence plaisantais au bord de la falaise, Emilie elle était inquiète, ils faisaient tout les deux semblant de tomber, mais ils étaient trop près du bord, quand Emilie arriva et tenta de les retenir. Un bruit de craquement, un crie strident et un fait divers dans le journal le lendemain. Comme tout les jours il se réveilla en nage en respirant fort. Trempé il se passa ses mains sur son visage, ils brûlaient a cause de la sueur qui avait coulé dedans. Comme toujours il était encore plus fatigué au réveil que lorsqu'il c'était couché, mais bientôt sa vie allait devenir plus belle, plus rose, puisque l'amour de sa vie allait venir emménager avec lui. Le souffle court il se leva et alla direction la salle de bain faire couler de l'eau froide dans son évier. La chaleur l'étouffais réellement depuis plusieurs jours, il était tant qu'il mette le ventilateur en route et qu'il l'installe la climatisation. Il passa ses mains sur son visage, il avait une barbe naissante depuis quelques jours et il ôta son t-shirt. A ce moment la porte du loft s'ouvrit, c'était Lauren son amour.

Il était heureux de lui avoir dit son amour il y a déjà un petit temps déjà mais ils étaient rester amis trop longtemps c'était une des choses qu'il avait regretté, mais ce qui comptait à présent c'est qu'ils soient ensemble et il avait même une surprise pour elle. Il lui sourit et l'embrassa avec amour pour l'accueillir dans leur nouveau chez eux. Il ne manquait que quelque cartons, pas grand chose, John les avaient mis à la cave en bas de son immeuble car ils vivent tout deux à présent au dernier étage et ascenseur était en panne mais apparemment il fonctionnait de nouveau et Lauren avait monter les 5 derniers cartons dedans. Il boutonna une chemise rouge a carreaux noir et l'aida à décharger les cartons de l'ascenseur.

"Bienvenue chez toi ma Lauren."

Il lui sourit et la prit dans le creux de ses bras avant de fermer la porte. Les cartons étaient tous prêt à être déballer, il était légèrement nerveux, ne sachant pas comment il allait faire pour lui demander de devenir sa fiancé.

"Hum, tu as prévu quoi pour le déjeuner? Je pensais faire un faux pique nique au milieu de notre immense salon tu en penses quoi?"

Messages : 15 Date d'inscription : 11/07/2010

Je n'en revenais pas que nous soyons enfin ensemble depuis le temps que nous nous aimions cela était comme un rêve qui c'était enfin réaliser. Ce que je ne revenais pas c'est d'avoir fait le premier pas enfin de l'avoir embrasser mais je ne regrettais pas d'avoir enfin oser l'embrasser surtout que cette opportunité c'était déjà présenter plus d'une fois et qu'aucun de nous n'avait oser faire le premier pas. J'avais penser que sa serait bizarre de s'embrasser parce qu'il est depuis des années mon meilleur ami mais bien au contraire c'était une évidence telle que j'en avais oublier de me poser des questions tout le temps. Je profitais de chaque instant que nous passions ensemble, chaque caresse, chaque baiser, chaque discutions est un réel bonheur. Rien n'avait changer comme nous l'avions souhaiter sauf que nous pouvions nous embrasser mais surtout nous aimer au grand jours enfin depuis le temps que j'attendais ce jour.

Nous ne voulions plus perdre de temps c'est alors qu'il m'a demander de venir vivre avec lui ce que j'avais accepter sans même y réfléchir une seule seconde. Nous avions eux une grande conversation en se qui concerne notre relation en faite nous ne voulions pas faire l'amour comme ça, on voulait que se soit un moment parfait, spécial pas n 'importe quel jours sans importance bien que c'était très dur surtout quand nous dormions dans le même lit dans les bras l'un de l'autre en train de flirter c'était très difficile de s'arrêter mais nous ne voulions pas aller plus loin voulant que notre première nuit soit exceptionnelle. Chaque baiser était comme une infusion de drogue en moi mais il n'y avait pas que sa toute les caresses, les moments dans les bras l'un de l'autre était d'une importante intensité.

J'avais fini d'emballer mes affaires il ne restait que cinq cartons que je mis dans la voiture pour les portés dans le loft de John non notre loft dire ce mot me fait bizarre mais un très bon bizarre. Je visitais chaque pièce avant d'éteindre les lumières et de rendre les clés pour rentrer enfin chez moi, chez nous. Tout en conduisant, je pensais a la vie que nous allons avoir ensemble sans plus jamais ce quitter. Cette perspective me rendais encore plus heureuse que jamais me réveiller le matin dans ses bras pour le soir mon coucher dans ses bras bien que nous le fassions déjà mais là se serait différent parce que nous serions chez nous, notre propre chez nous j'en avais les larmes aux yeux tellement j'en avais rêver depuis tellement d'années.

Mettant les cartons dans l'ascenseur,avec moi, j'appuyais sur le bouton trop impatiente de le retrouver pour qu'on puisse commencer une vie de couple vivant ensemble. Bloquant l'ascenseur j'ouvris la porte du loft pour aller le retrouver avant de tout décharger. Il était là torse nu ce qui n'était pas facile, se qui m'arracha un rire nerveux. Il me sourit de se sourire qui me faisait fondre à chaque fois et m'embrassa avec amour baiser que je lui rendais avec autant de passion et d'amour. Après avoir boutonner sa chemise a carreau que j'adorais le voir porter nous allions à l'ascenseur afin de décharger les cinq derniers cartons qui concrétiser notre emménagement ensemble.

Merci mon coeur, j'arrive pas à croire qu'on va enfin vivre ensemble.

Je ris lorsqu'il me prit dans ses bras. Me blottissant contre lui je l'écoutais me parler mais je sentais dans sa voix de la nervosité ce qui n'était pas normal chez lui quand nous étions ensemble. Je savais ce qu'il fallait faire pour le calmer alors tout en l'écoutant me parler je caressais sa nuque remontant à ses cheveux l'endroit qui le calmer. Enfaite je commençais à avoir faim ce qui tomber à point.

J'avais penser que comme nous devrions déballer mes affaires que nous pourrions commander à dîner mais je préfère ton idée elle est excellente mon coeur. Hum dis moi c'est une idée ou tu es nerveux? Il sait passer quelque chose pendant mon absence? Tu as vu ton frère ou c'est à cause du faite que nous allons vivre ensemble?

Je ne pensais pas que se soit le faite que nous allions vivre ensemble mais je pensais plus que au faite qu'il aurait pu voir son frère ou autre chose en faite j'étais totalement perdue je ne savais pas ce qui le rendait aussi nerveux mais quoi qu'il ait je serais là pour lui et sa il le savait mieux que personne parce que je suis là pour lui comme lui. J'avais hâte que nous commencions notre vie de couple et de vivre pleinement notre amour.

Jamais il n'avait été aussi nerveux, John était un jeune garçon timide, il n'avait jamais avoué son amour a qui que ce soit, il n'est d'ailleurs jamais sorti avec qui que ce soit avant Lauren mais cela, elle ne le savait pas. Il avait bien manqué de lui dire, les hommes sans expérience ne sont pas les plus aimer et puis il était bien trop renfermer pour parler de sexe avec qui que ce soit, même avec sa propre petite amie. Au début Lauren ne l'avait pas remarqué, ils s'étaient croisés à une réunion de la meute, elle était la riante avec son sourire magnifique, ce petit grain de beauté au dessus de sa lèvre, du coter droit. Elle était tellement rayonnante, tellement belle, tel un ange. Il y avait un rayon de soleil qui traversait la pièce et il faisait comme une auréole au dessus de sa tête. Il pouvait imaginer les ailes se déployer derrière elle, des ailes blanches avec des plumes douces sans doute comme sa peau. La réunion c'était passer sans un regard, même pas un mot, pourtant il l'a fixait, souvent il la regardait de biais, mais rien a faire elle ne s'intéressait pas a lui. La première fois qu'ils se parlèrent c'était durant une surveillance dans la forêt, cela c'était assez mal passer mais son amour était de plus en plus fort et il ne pouvait cesser de penser a elle en permanence, il en rêvait même. Après cela est né une amitié qu'il n'aurait jamais supposé possible, un soir à la patinoire il s'était croisé et c'est la qu'il avait compris que c'était elle, que ça avait toujours été elle et personne d'autre. Elle était sa raison de vivre, de se lever le matin. Il l'avait compris dès le premier regard, même si elle ne l'avait pas vu, à moins qu'il ne s'en soit pas rendu compte.

A présent son plus beau rêve c'était réalisé, ce n'était pas percer dans la musique, il s'en moquait du moment qu'il vivait de son art, sa passion, non, son rêve était de rencontrer l'amour, son rêve était de trouver son âme sœur, et elle l'était, il en était si sur depuis le début. Il se souvenait du jour ou il était rentrer dans la cuisine et que sa mère était attabler en l'attendant. Tout avait changer en lui, rien que l'expression sur son visage. C'était ce jour ou il était le plus heureux du monde, c'est grâce a elle qu'il avait trouvé le bonheur, qu'il avait compris ce que ce mot signifiait, mais aussi ce qu'était l'amour, le véritable, celui avec le grand A, l'amour parfait, l'état pur, l'essence même des sentiments, c'était elle son bonheur, cette jeune femme qu'il avait rencontrer et qui la première fois qu'il l'avait vu ne savait même pas son nom.

Tout était si beau à présent, ils étaient enfin ensemble enfin réunis, mais surtout ils allaient vivre ensemble. C'était quelque chose d'important pour lui, il était vrai qu'il était réellement nerveux de cet emménagement, il n'avait jamais voulu accélérer les choses entre eux mais il se doutait que Lauren aurait aimé qu'il fasse l'amour. Il en avait envie lui aussi, mais il ne le pouvait pas, il avait de vieux principe, celui d'être sur déjà que c'était la femme de sa vie, sa il le savait mais aussi le principe du mariage.

« Hum génial, je suis heureux. Hum oui j'ai vu Lawrence, en faite on ne c'est pas parler... Je l'ai vu de loin, j'ai voulu l'appeler plus d'une fois, mais en faite je ne... j'ai pas pus. Tu sais j'aimerais mais, tu ne connais pas toute l'histoire, c'est plus compliqué que sa. »

Des larmes lui montèrent aux yeux, peut être que si il en parlait a Lauren cela le libèrerais une bonne fois pour toute tout compte fait. Il soupira et alla déballer quelque cartons mais pour la première fois il se mit à pleurer. Il n'avait jamais pleurer devant qui que ce soit, il ne se souvenait même pas de la dernière fois qu'il avait pleurer, mais cette fois il se laissa aller et pleura dans le creux de ses bras.

« Lauren tu j'ai vécu des choses réellement difficile, ce qui c'est passer ce jour la nous a désunit a jamais, je jamais on ne se reparlera, jamais on ne pourra même si on s'aime, ce n'est pas possible. On l'a tué, on a tué Emilie, c'est de notre faute si elle est morte Lauren c'est de notre faute. »

Il s'écroula sur elle, sur son épaule, mais il avait besoin de se libérer de se fardeau. Cela faisait tant d'année qu'il se le reprochait, personne n'était au courant de ce qu'il s'était produit a part son frère et lui mais à présent elle le savait, il fallait qu'il lui dise tout puisqu'il n'avait pas tout révéler mais cela avait déjà commencer à le libérer.

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J'avais hâte de commencer de notre vie à deux. Secrètement je me demandais où nous allions, que serait notre avenir. Il y a deux jours, j'étais aller pour lui faire des papiers très important ne pouvant y aller lui même je m'étais donc proposer ne travaillant pas bref j'arrivais au guichet quand la femme me demanda la date de naissance de mon mari ce qui m'arracha un rire nerveux c'est alors que je lui dis que nous n'étions pas marier évidemment elle n'avait pas voulu me donner les papiers dont il avait besoin quand j'étais rentrée je lui expliquais entre deux mots ce qu'il c'était passer sans vraiment lui avouer que pendant le retour j'avais imaginer ce que cela ferait si nous étions marier, ce que sa me ferait de m'appeler madame Connors et pour être franche j'en vais eus les larmes aux yeux rien qu'en y pensant. Il n'avait jamais parler de mariage avec moi sauf une fois il y a deux mois me disant que ce n'était pas son truc à vrai dire moi non plus jusqu'à se jours ou juste l'imaginer m'avais submerger de bonheur. Je respectais son choix et jamais je ne lui imposerais ça parce que je voulais que son bonheur, notre bonheur qui est d'être ensemble pour toujours. Nous avions une relation nous dirons platonique ce qui ne me déranger en rien même si l'envie de lui était très fort je ne voulais pas faire les mêmes erreurs qu'avec Jared avec qui j'avais était trop vite même si nous avions eus une relation de plus de deux ans nous n'avions coucher ensemble que trois fois. C'était une erreur cette relation surtout que je savais que j'avais fait un transfert et qu'il n'était plus ou moins qu'un mec rebond.

Mon amour pour lui est impossible à qualifier parce que aucun mot n'est assez fort. Ce n'était pas dans l'habitude que deux loups sortent ensemble encore moins être des âmes soeur comme nous le sommes ça j'en était sur. Je n'avais jamais rêver du grand amour jusqu'au jours où je l'avais vu c'était à une réunion de loups. Il m'avait regarder une première fois quand à moi je lui avais rendu son regard sans plus ne m'attardant pas sur lui pas parce qu'il ne me plaisait pas bien au contraire c'était le problème parce que dès que nos regards se sont croiser j'ai ressentis quelque chose que jamais je n'avais ressentis. Ce que j'avais ressentis m'avait effrayer n'étant pas habituée à se genre de sentiments. Nous avions patrouiller par la suite, une patrouille qui c'était très mal passer par ma faute pour la simple et bonne raison que les sentiments qu'il me faisait ressentir me fait peur. Ce jour là, je m'étais rendu compte que je ne pouvais vivre sans qu'il soit dans ma vie c'est comme ça que notre amitié est née, une simple amitié n'étant pas sur de ses sentiments pour moi. Certes, nous avions perdu du temps mais maintenant nous pouvions vivre notre amour pleinement.

Je savais que quelque chose n'aller pas et j'avais raison rien qu'en l'entendant parler de son frère. Je le connaissais suffisamment pour savoir qu'il y avait autre chose surtout quand il me laissa là pour aller déballer quelque cartons c'est alors que je me retournais pour m'apercevoir qu'il pleurait...Je ne l'avais jamais vu pleurer avant et cela me briser le coeur. Me précipitant pour le prendre dans mes bras je l'écoutais me parler tout en le consolant. Je savais que quelque chose c'était passer entre eux de terrible mais je ne savais pas quoi mais là ce qu'il me dit me déstabilisa. J'avais déjà entendu parler de cette Emile mais sans plus mais je commençais à réellement me poser des questions. L'entrainait sur le canapé, j'essayais de le consoler tant bien que mal même si je ne connaissais pas toute l'histoire.

John, je sais que je ne connais pas toute l'histoire mais je suis sur et certaine que c'était un accident parce que je te connais et j'en connais assez sur ton frère pour savoir que vous ne l'avez pas tuer intentionnellement. Tu as besoin de te soulager mon coeur alors parle moi, je suis là pour toi alors laisse toi aller sa te libèrera et tu te sentiras mieux.

Je n'aimais pas le voir souffrir comme je le voyais là. Mon coeur se fendait de douleur ne sachant pas comment l'aider, comment enrailler sa souffrance, cette souffrance qui est la sienne depuis tellement longtemps que cela devait le peser. Caressant ses cheveux tendrement, je le consolais tant bien que mal même si je savais que les pauvres moyens que je donnais pour l'aider n'était pas énorme mais au moins j'étais la pour lui et je pouvais rester comme ça avec lui toute la nuit à le consoler et à l'écouter si il en avait besoin.

Il n'avait jamais penser que tout serait aussi facile entre eux, pour lui les histoires d'amour et les sentiments étaient quelque chose d'assez complexe, en effet dans tout les ouvrages qu'il avait lu ou encore dans la réalité de tout les jours cela lui semblait bien compliqué. Il n'avait lui jamais ressentis de tel sentiments, alors il n'avait rien dit à Lauren quand il les avaient enfin ressenti. Il ne pensait pas non plus être assez bien pour elle c'est pour cela qu'il ne lui avait rien dis mais il avait tout fait pour lui faire comprendre. Ils avaient finalement fini par se le dire et à présent ils étaient heureux ensemble comme jamais il ne l'avait été. Ils allaient enfin vivre ensemble tout les deux, John en était bien plus qu'heureux, pour dire vrai ils vivaient déjà ensemble quasiment, même en étant amis ils dormaient très souvent ensemble, et ils étaient très souvent l'un chez l'autre. Quand il ne passait pas une nuit avec elle il n'arrivait pas a dormir, alors autant officialiser tout cela avait-il pensé. Il se souvenait du jour ou il lui avait demander, il s'était retourner des milliers de fois la scène dans sa tête, mais il n'en avait pas dormis de la nuit. Il avait voulu que tout soit parfait et romantique, ce dont il n'était pas habitué. C'était plus le genre à Lawrence cela, il savait que son frère était parfait hors que lui non. Il était bien loin de l'être, cela l'avait toujours complexer, il avait toujours voulu être comme Lawrence, mais il ne l'avait jamais été. Il invita donc Lauren au restaurant, il se vêtit même d'une costume, Lauren avait compris qu'il se passait quelque chose mais il ne dit rien. Il se mit à boire pour avoir le courage de lui demander, toute la bouteille de vin rouge y passa, quand il eut enfin le courage et qu'il lui demanda entre le plat et le dessert si elle voulait qu'il vivent ensemble. Il devint tellement rouge qu'il finit par tousser et être mort de honte, il bredouilla et lui demanda pardon quand elle finit par dire oui les larmes aux yeux. Maladroit il l'a pris dans ses bras et l'embrassa avec amour, c'était le plus beau jour de sa vie.

Depuis elle emménageait enfin, il était plus qu'heureux et il voulait lui demander autre chose mais il l'avait fait bien différemment cette fois. Il ne lui avait pas encore dis, mais il allait bientôt le faire, pour le moment il déballa des cartons, mais il se mit à pleurer, il devait enfin en parler, même le psy qu'il voyait n'était pas au courant, en même temps il ne préférait pas lui dire, c'était la femme de Lawrence son psy et si il lui disait elle le serait et elle irait voir Lawrence. Son frère le haïssait suffisamment pour qu'il le haïsse encore plus il ne pouvait donc rien lui dire.

« On l'a tué Lauren, on l'a tué. On le faisait exprès de jouer près de la falaise, elle hurlait à chaque fois et nous traitait d'idiot, mais je suis aller trop loin, je voulais qu'elle s'inquiète pour moi, j'ai manqué de tomber mais Lawrence m'a rattraper et il n'a pas eus le temps de la sauver. Elle est tombée elle, personne n'a jamais rien su. On n'a pas dit qu'on s'était amusé avec elle, ses parents ne savent pas ce qu'il c'est véritablement passer, on n'a jamais retrouver son corps, c'était des rapides sous la falaise, ils pensent toujours qu'elle est la quelque part, qu'on la kidnapper et qu'elle est en vie alors qu'elle est morte, je le sais. Lawrence ne me l'a jamais pardonner. »

Il sécha ses larmes et s'assit pour faire face à Lauren. Comment voudrait elle se marier avec un homme comme ça? Il commençait sérieusement à douter, peut être ne voudrait elle même plus vivre ici avec lui. Il la fixa toujours les larmes aux yeux avant de se lever et de lui dire tout bas :

« J'ai un cadeau pour toi, ce John qui a fait cet ânerie n'est plus la, ne m'en tiens pas rigueur je t'en pris et s'il te plait reste vivre avec moi. Cela s'est produit il y a longtemps. J'ai... j'ai quelque chose... Hum, un cadeau dirons nous pour toi, c'est sur la table à l'entrer, tu devrais y aller avant que je ne panique et que je change d'avis. »

Il alla déballer ses cartons pour se déstresser, cette demande le paniquait réellement, il ne savait pas comment elle risquait de le prendre, il savait mot pour mot ce qu'il avait noter sur le petit mot.

Lauren mon amour,

Tu sais a quel point je t'aime, a quel point je suis amoureux de toi et cela depuis que je t'ai vu. Tu es au courant à présent, je suis si heureux que tu viennes vivre ici, je ne veux pas que tu penses que je désires précipiter les choses mais... Lauren j'aimerais que tu ouvres la petite boite noir qu'il y a si jointe avec la lettre et que tu l'ouvres. Elle appartenait à Elizabeth ma mère, et je voulais te l'offrir pour savoir si tu voulais être ma fiancé. Je t'aime plus que tout... J'aimerais qu'on officialise notre relation...

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Je n'aimais pas le voir comme ça de plus il ne méritait pas toute cette douleur surtout avec ce qu'il avait vécu avec son père même si son frère était la pour le protéger. Maintenant que je connaissais toute l'histoire je pouvais enfin l'aider à traverser tout ça se serait beaucoup plus facile même si il ne me cachait j'étais heureuse qu'il se soit confier à moi. Il commençait à se calmer, à aller mieux mais je voyais toujours le doute en lui le connaissant j'étais prête à parier qu'il se demandait si je l'aimais toujours, si je voulais encore de lui et il ne se fit pas attendre j'avais gagner il se posait ses questions. Caressant tendrement son visage, je lui souris déposant un baiser sur ses lèvres.

C'était un accident John, je ne vais pas changer d'avis à cause de ce qu'il sait passer il y a des années. Je t'aime John et je veux vivre avec toi cela ne remet pas en cause ma décision de vivre avec toi ! Attend, tu viens de dire le mot cadeau ou j'ai rêver?

J'essayais de le rendre moins nerveux même si je n'étais pas très folle des cadeaux sauf quand sa vient de lui. Maintenant je savais pourquoi il était si nerveux comme à chaque fois qu'il veut m'offrir quelque chose ou me faire une déclaration ce que je trouvais adorable. Me levant, j'allais jusqu'à la table de l'entrer mais bizarrement il alla défaire mes cartons au lieux de venir derrière moi pour voir ma réaction. Je repenser à la façon dont il m'avait demander de venir vivre avec lui ce que j'avais trouver très adorable même si pour ça il a du boire pour trouver le courage de me le demander. Il avait changer depuis que nous étions ensemble ce que je ne lui avais pas demander parce que je l'aime comme il est mais il buvait presque plus et fumait moins aussi chose que je ne lui avais pas demander parce que même si c'était des défauts c'est ce que j'aime chez lui et pour rien au monde je voulais qu'il change quoique se soit parce que nous étions ensemble.

Nous avions eus cette discutions lors de notre première soirée en amoureux une fois que nous avions décider de quitter les lèvres de l'autre au moins pour dix minutes ce qui en y repensant me fit rire. Aucun de nous ne voulait que l'autre change, que nous continuions nos soirées télé, ciné, lecture et nos grands moment de discutions que nous aimions temps mais surtout nous ne voulions pas perdre le coté meilleur ami, enfin qu'on arrête de se confier à l'autre parce que nous sommes devenu un nous. Certaine personne trouvaient étrange que nous passions de meilleur ami à couple disant que c'était bizarre et malsain que de toute façon tout le monde sait qu'un mec et une fille ne peuvent pas être de simple ami et encore moins des meilleurs amis. Je me foutais royalement de ce que les gens pensaient parce qu'ils ne pouvaient pas comprendre l'amour qui nous unis lui et moi parce que aucun amour n'est aussi fort que le notre et cela n'a rien avoir avec l'imprégnation comme on dit chez les loups.

J'arrivais devant la table où un petit mot de sa part m'attendait. Me retournant vers lui, je vis qu'il ne me regardait pas et que si il aurait pu il serait entrer dans le carton afin de s'y cacher; Je me demandais bien ce que pouvait renfermer ce mot ainsi que se cadeau qui lui faisait peur apparemment c'est alors que moi aussi je fus prise de panique ne sachant pas ce qu'il s'y trouvait...Ouvrant la lettre, je commençais à lire :

Lauren mon amour,

Tu sais a quel point je t'aime, a quel point je suis amoureux de toi et cela depuis que je t'ai vu. Tu es au courant à présent, je suis si heureux que tu viennes vivre ici, je ne veux pas que tu penses que je désires précipiter les choses mais... Lauren j'aimerais que tu ouvres la petite boite noir qu'il y a si jointe avec la lettre et que tu l'ouvres. Elle appartenait à Elizabeth ma mère, et je voulais te l'offrir pour savoir si tu voulais être ma fiancé. Je t'aime plus que tout... J'aimerais qu'on officialise notre relation...

Je restais là figée relisant les dernières lignes pour être sur surtout qu'il m'avait dit que lui et le mariage sa fait deux. Plus je relisais ses lignes, plus les larmes coulaient. Je n'arrivais pas à parler, a bouger mais je devais réagir lui dire quelque chose sachant pourquoi il était si nerveux. Je connaissais déjà la réponse sans avoir besoin de réfléchir mais je n'arrivais pas à faire sortir un mot de ma bouche tellement j'étais heureuse, étouffée d'une joie, d'un bonheur intense. Ouvrant la boîte, je découvris la bague d'Elizabeth que je ne peux m'empêcher de caresser encore et encore sans toute fois cesser de pleurer. Je pouvais sentir sa nervosité de là où j'étais même si cela peut paraitre dingue je la ressentais. Tenant la bague dans ma main, j'avançais pour aller le rejoindre et comme la fois où il m'a avouer son amour je l'embrassais amoureusement avant de coller mon front contre le sien sans cesser de pleurer toute fois.

Oui, oui je le veux, évidemment que je le veux John. Si tu savais comme je t'aime, à quel point je t'aime mon coeur.

Jamais je n'avais était aussi heureuse que maintenant, j'avais encore du mal à réaliser qu'il venait de me demander de devenir sa fiancée. Je ne pouvais arrêter ses larmes qui me coulaient encore et encore mais c'était des lames de joie pur. Comment pouvait-on être plus heureuse que je ne le suis en se moment surtout quand on est sur d'avoir trouver l'amour de sa vie, son âme soeur avec qui je savais que je finirais mes jours sans le moindre doute.

Il n'était pas doué pour avouer ses sentiments, pour dire vrai il ne l'avait jamais été. En faite il ne se trouvait doué pour rien du tout mais cela était autre chose. C'était sans doute dut a ce qu'il s'était produit lors de son enfance, et puis au fond de lui il savait que quelque chose ne collait pas, enfin il le savait, Charles n'était pas leur père, il ne l'avait jamais été, il ne les avaient même pas élever a moins que l'on considérait les coups et les insultes comme un moyen d'élever des enfants. Il n'avait put le dire à son frère, même Lauren ne le savait pas, personne ne le savait, il avait besoin d'en parler de s'en libérer mais ça il ne l'avait jamais encore fait. Peut être allait il le dire à Lauren aujourd'hui, pas a sa psy en tout les cas c'était la femme de son frère Lawrence. John savait qu'il n'y avait pas meilleur psy qu'elle et que quand il allait mal elle pouvait décaler ses rendez-vous pour lui, elle faisait cela sans doute pour Lawrence, et évidement il se sentait mieux en allant la voir, mais il ne pouvait tout lui dire, sinon elle le saurait et Lawrence remarquerait quelque chose. Il avait peur qu'ils se disputent a cause de ce qu'il pouvait lui dire en thérapie, alors il gardait des choses pour lui. Il n'avait prévenu personne pour la demande de Lauren, même pas son ourson si vieux qu'on ne sait pas réellement de quel animal il s'agit. John le gardait dans le fond d'un de ses tiroirs et le ressortait de temps à autre, quand il allait le plus mal mais surtout parce qu'il s'agissait du premier cadeau que son frère lui avait fait. Quand il le serrait contre lui il pouvait revoir Lawrence le serrer dans ses bras pour lui dire d'aller se cacher, qu'il se ferait battre a sa place, que lui était trop petit pour ça, et qu'il l'aimait plus que tout. Cela lui faisait étrangement du bien mais aussi du mal, c'était bien étrange de ressentir ses deux sentiments à la fois, mais il y était habitué. Ce qui faisait sans doute mal c'est le faite qu'il ne voyait plus son frère depuis des années mais il n'avait jamais eut le courage de le faire, même en buvant ce qui d'habitude le rend bien plus courageux étant donné qu'il est timide.

Il n'avait rien trouver de très original a faire comme demande, et ce coup ci il s'était promis de ne pas boire. Il avait dut beaucoup boire pour demander à Lauren de venir vivre avec lui, il se doutait que cela devait la gêner, c'est pour cela qu'il ne l'avait pas fait, mais aussi pour lui, pour s'améliorer, devenir meilleur. Il resta près des cartons, il se demandait si il ne pouvait pas tenter de se plier en quatre pour rentrer dans l'un d'eux, mais il était sans doute trop grand. Il soupira et se demanda soudainement si il n'aurait pas du faire cela au restaurant comme tout le monde, peut être devait il lui dire que ce n'était qu'une farce et lui demander si elle voulait y aller ce soir? Mais il vit en se retournant que c'était trop tard, elle lisait le mot qu'il lui avait adresser. Il se frappa le front avec sa main et continua de vider les cartons, il était tellement perturber qu'il en renversa tout le contenu. Il s'agissait de vêtements, ou plutôt de sous vêtements, ce qui le fit devenir totalement rouge. Lauren arriva et l'embrassa avec amour, il le tint contre elle et lui rendit, avant de prendre la bague, la regarder les larmes aux yeux et lui dire :

« Ce n'est sans doute pas la plus belle des demandes, nous ne sommes pas au restaurant, nous ne sommes que chez nous, mais bon, cela est fait. Si je l'avais fait dans les bonnes manières je me serais agenouillé en te disant que je t'aime plus que tout au monde, que je t'ai toujours aimé, depuis le premier jour. Que dès que j'ai perçut ton sourire, il a fendu mon cœur,et que dès que j'eus entendu le son de ton rire je crus entendre la plus belle des mélodies. Je t'aurais aussi dit que mon cœur bat a l'unisson avec le tien et que lorsqu'il cessera de battre, le mien aussi à la même seconde. Tu m'as rendu meilleur, plus heureux, et que sans toi je ne serais rien. Que tu es ma vie depuis la première seconde et que c'est depuis la première seconde ou j'ai croisé ton magnifique regard chocolat que j'ai trouvé un sens à ma vie. Et la je t'aurais baiser la main avant de te dire, voudriez vous m'épouser Lauren Stevenseon. »

C'est ce qu'il fit, durant son discours il s'agenouilla et a la fin il baisa sa main pour finir par essuyer des larmes qui coulaient sur ses joues. John ne moquait bien de pleurer, cela ne faisais pas pour autant de lui une femmelette, il aimait Lauren plus que tout au monde, plus que sa vie, et il pensait chaque mots qu'il lui avait dit. Il passa la bague a son doigt et se releva pour l'embrasser avec amour, c'était sans doute le plus beau jour de toute sa misérable existence.

Messages : 15 Date d'inscription : 11/07/2010

Rien au monde ne pouvait gâcher cet instant même pas la fin du monde. J’avais encore du mal à réaliser qu’il venait de me demander de l’épouser. Mon père lui en était sur, il me l’avait dit avant que nous ne soyons ensemble. Toute les deux semaines, je partais voir mes parents bien sûr John venait avec moi en faite on ne se quittait jamais sauf si nous étions obliger alors que nous n’étions pas encore un couple mais nous nous comportions comme tel bref, j’étais dans la cuisine avec mon père quand à John, il était parti faire des courses avec ma mère. Mon père avait trouvé l’excuse que sa voiture était en panne et qu’il détestait conduire une automatique ce qui était faux vu que la sienne en était une se qui m’avait fait sourciller mais je compris à son regard qu’il voulait me parler. Une fois John et ma mère partis, il nous mis une tasse de café avec quelque cookies ce qui était le signe d’une grande discutions père et fille. Je ne pus m’empêcher de rire quand il vint s’asseoir en face de moi avec son air sérieux.

-Lauren Stevenson, quand vas-tu arrêter de jouer à l’autruche ?

-De quoi tu parle papa ?

-Je parle de John, de vous mais regardez-vous sérieusement vous êtes inséparable mais le pire c’est que vous vous comportez comme un couple, vous vous aimez mais aucun ne fait le premier pas à moins que vous attendiez qu’on le fasse pour vous ? Si ce n’est que cela moi je peux le faire sans aucun problème parce que je n’aime pas voir ma petite fille semi malheureuse et ne me dit pas que tu ne l’es pas parce que se serait le plus gros mensonge que tu m’aurais dit jeune fille.

-Papa, je…on…d’accord oui ça me fait mal mais je ne pense pas qu’il me voit comme ça enfin il y a des comportements qui ne trompe pas mais parfois je me dis oui il m’aime comme je l’aime mais notre problème c’est que si l’un de nous fait un pas en avant l’autre en fait trois en arrière…

-Lauren, vous avez peur tout simplement ce qui est normal mais si vous ne vous décidez pas vous serez malheureux tout les deux pendants de longue année. Sur le chemin du retour tu lui dis de s’arrêter une minute, tu te retourne vers lui et tu lui dis que tu l’aime ou tu l’embrasse c’est encore plus clair mais je t’en supplie fait quelque chose pour vous deux parce que moi je vois deux personnes qui s’aiment plus que tout gâcher une belle vie remplie d’amour pour rien, pour une simple peur. Aller ma luciole fonce !

Je m’étais mise à rire sachant qu’il avait raison. Quelque minute plus tard John est ma mère rentraient des courses quand à mon père et moi nous étions en train de faire la vaisselle quand John arriva derrière moi pour m’enlacer posant ses mains sur ma taille et baiser mon cou. Mon père se mit à rire en secouant la tête mais personne à pars moi n’en comprenait la raison ce qui était bien à se moment là. Sur le chemin du retour j’avais demandé à John de s’arrêter sans rien faire prétextant que je pensais avoir oublié mon portable. Je ne regrettais rien parce que je voulais qu’au moment de lui avouer mes sentiments se soit parfait pas dans une voiture sur l’autoroute.

Notre baiser était merveilleux, je dirais même plus que merveilleux mais j’avais beaucoup de mal à me concentrer à cette instant précis surtout quand il me prit la bague et que je constatais en plongeant dans son regard qu’il avait les larmes aux yeux. Je pensais qu’il allait me passé la bague au doigt quand il s’agenouilla en me faisant une déclaration mais surtout la plus belle des demandes en mariage. J’étais pire qu’une fontaine tellement les larmes se déployaient encore et encore ne pouvant s’arrêter. Je me sentais encore plus idiote quand je sus murmurer un simple petit « oui » alors qu’il était agenouillé me passant la bague au doigt. Il pleurait presque autant que moi, je voulais essuyer ses larmes mais j’en étais incapable pour le moment tellement l’émotion était forte. Je lui rendis son baiser avec autant d’amour passant mes mains dans ses cheveux quand hors d’haleine je dus le stopper à regret. Prenant sa main tout en essayant de calmer mes larmes je l’entrainais sur le canapé espérant que ça m’aiderais. Il s’assit et me pris sur ses genoux. Enfuyant ma tête dans son cou, calmant mes larmes j’étais en état de pouvoir parler enfin je l’espérais.

Je t’aime John, si tu savais à quel point je suis amoureuse de toi c'est la plus belle et merveilleuse des demandes au monde mon coeur, elle est parfait, elle te ressemble, elle est nous c'est ce qui la rend encore plus merveilleuse, exceptionnelle, parfaite. Sans toi ma vie n’est rien, sans notre amour, ton regard, ton sourire sans oublier tes rougeurs tout ce qui fait que tu es toi fait partie de moi c’est comme ça que je t’aime et pour rien au monde je ne voudrais que tu change parce que tu es intelligent, drôle, doux, magnifique, formidable sans oublier ton grand cœur et ton sale caractère que j’aime plus que tout. Tu es exceptionnelle John même si toi tu en doutes mais je te le dis droit dans les yeux tu es exceptionnelle mon cœur plus que tu ne peux le croire. Jamais je n’aurais pensé avoir la chance de trouver un homme aussi merveilleux que toi, d’être aimer par toi. Tu m’as rendis le sourire, la vie mais surtout tu me rends tellement heureuse que jamais je n’aurais crus pouvoir l’être autant. Quand je me lève le matin et quand je me couche le soir pas un seul instant je ne cesse de pensé à toi, d’être heureuse ma vie n’à commencer que le jour où je t’ai vu même si je t’ai un peu refoulé mais c’était parce que lorsque j’ai croisé ton regard se jour là pendant la réunion quelque chose en moi à changer, un sentiment que jamais je n’avais encore ressentis pour personne venait prendre place en moi. J’avais peur de se que je ressentais mais je ne pouvais rester loin de toi ce lien qui c’est installer dès ce premier regard ma déstabiliser au début mais j’ai très vite mis un mot sur ce sentiment j’étais tombé amoureuse en faite je venais de rencontrer l’homme de ma vie, mon âme sœur certes, on a mis du temps avant de s’avouer nos sentiments mais je ne regrette rien parce que nous sommes enfin ensemble et je ne laisserais rien n’y personne nous séparer.

Je continuais à caresser ses cheveux, sa nuque tout en lui parlant. Je pourrais continuer encore des heures, des jours à lui dire combien je l’aime, depuis quand sans oublier ce que j’ai ressentis quand je l’ai vu pour la première fois mais surtout combien je suis fière de devenir prochainement sa femme. C’était étrange à dire mais très plaisant, me dire que d’ici quelque temps je deviendrais Madame Connors cela accéléra les battements de mon cœur qui je le croyais aller finir par exploser de bonheur.