. J'étais heureux de rester avec mon amour et notre merveilleuse petite fille, je ne savais pas ce que j'aurais fait si il leur était arriver quelque chose. Heureusement que nous ne nous séparions jamais, sans cela je n'aurais pas pus vivre. Jamais je n'avais été heureux avant Hanna, c'était elle seule ma source de bonheur durant un moment, puis nous avions eus notre fille Laurenza. Une petite merveille, notre bonheur, elle ressemblait tellement à sa merveilleuse mère, mais un peu a moi aussi tout de même. Nous nous étions rencontrer à Londres dans mon café préféré le Starbucks. J'avais pris un moccha frappé comme a mon habitude et Hanna elle avait pris un café bien chaud je m'en souviendrais toute ma vie! Vous vous demandez sans doute pourquoi, et bien parce qu'elle me l'a renverser dessus évidement. Mais a ce moment la je m'en moquais éperdument, tout ce qui comptait était la jeune femme qui se trouvait devant moi. Elle était sublime, dès que je l'avais vu j'étais tombé amoureux, dès le premier regard, j'avais ressentis tellement de frissons, j'avais compris. Je n'étais jamais tombé amoureux avant elle, et je n'étais même pas sorti avec une seule femme, cela ne m'avais jamais intéresser, mais quand je la vit je savais que ma vie allait changer à jamais et j'avais eus bien raison. Notre amour continua à Tree Hill, on se maria même la bas, et c'est aussi dans cette ville que Hanna accoucha de notre petite merveille Laurenza.

. Mais nous avons atterrit au New Hampshire, c'est ici qu'on m'a proposer une maison d'édition. Nous étions donc parti pour le New Hampshire, et j'en étais heureux au fond. Si nous ne nous étions pas déplacer aussi vite, il faut que je vous dise que nous avions manquer de rater notre avion, et bien nous serions mort. La nouvelle nous fit un choc, Hanna était choqué pour sa famille, et moi j'avais rechercher désespérément si John était en vie, mais j'avais appris qu'il vivait déjà dans cette ville ce qui m'avais soulager. Malgré le faite que nous ne nous parlions pas je l'aimais plus que tout au monde, mais avec ce qu'il c'était produit je ne pensais pas que nous puissions nous parler un jour.

. J'étais dans le lit encore à cette heure avancé de la journée, j'étais exténué, je n'avais pas dormi depuis que nous étions dans cette ville. J'avais peur pour Hanna et Laurenza, cette ville était bien trop étrange, tout le monde faisait semblant que tout allait bien mais je savais que ce n'était pas le cas. Je pensais a appeler John, lui dire juste bonjour et savoir comment il va mais je n'en avais jamais eus le courage. Je tombais de sommeil je m'étais finalement endormis mais je n'avais pas dormis longtemps. Une heure, peut être deux, mais les mêmes cauchemars venait m'asséner durant la nuit. Je me réveillais doucement, une petite tête blonde dépasser derrière la porte. Je souris, mon petit bonheur était la et m'attendais. Nous avions prévu d'aller au parc avec son parrain, Hanna elle allait sortir avec sa meilleur amie Lauren. La journée fut merveilleuse, nous nous étions amuser mais je n'avais qu'une envie retrouver ma femme et l'embrasser avec amour.

. Je rentrais avec ma petite merveille dans le creux de mes bras, son parrain était avec nous, ils nous suivaient mais il avait prévu de prendre notre fille pour nous laisser du temps a tout les deux Hanna et moi. Avant de s'en aller la puce voulait aller au pipi, je l'a laissait bondir comme une balle de tennis jusqu'au VC la surveillant toutefois, et je discutais avec son parrain.

« Alors qu'avez vous prévu Hanna & toi? »

« Je n'en ai aucune idée, elle veut qu'on passe un peu de temps ensemble, cela fait un moment que nous n'avons pas une soirée à nous, merci encore de la prendre en faite. Tu es très gentil, mais tu sais elle t'adore. Tu veux boire quelque chose? »

« Non ça vas aller. »

. Mon petit bonheur bondissait pour venir dans la cuisine, elle s'était même laver les mains toute seule. Je la pris dans mes bras, embrassa son front tendrement, lui fit un baiser de pingouin et je la laissais aller dans les bras de son parrain. Une fois mon ange partie j'allais prendre une bonne douche froide histoire de me réveiller et je m'habillais d'un jeans noir cintré et d'une chemise blanche légèrement ouverte. Je finis par sortir pour acheter quelques petites choses. Hanna était rentrer lorsque j'arrivais. Elle paraissait déboussoler, je me demandais bien ce qui avait pus se produire. Je la pris sur mes genoux et lui caressa mes cheveux un moment quand elle se décida a parler. Ce qu'elle me dis me surpris, j'avais beaucoup de mal à y croire mais cela était bel et bien vrai. J'étais heureux évidement, en plus nous attendions des jumeaux! Je l'embrassais avec amour avant de la serrer encore plus fort contre moi.

« Je t'aime mon amour, si tu savais a quel point je suis heureux! Nous allons avoir encore des petites merveilles. J'espère que ca va bel et bien être des jumeaux, tu ne sais pas a quel point je suis heureux mon amour. »

. Je me levais pour la faire tournoyez et l'embrasser encore. Je lui souris et lui offrit un bouquet d'arôme ses fleurs préférées.

« Je suis sortis pour aller te les acheter, on doit fêter beaucoup de choses ce soir. »

. Je ne pensais pas qu'elle allait m'annoncer cela. A vrai dire j'étais très surpris, je ne réalisais pas encore, mais c'était bel et bien vrai, Hanna, ma douce épouse était enceinte, jamais je ne pensais que j'allais être aussi heureux même dans cette ville douteuse qui m'empêchais de dormir, j'avais peur qu'ils leur arrivent quoi que ce soit, mais savoir que nous allions encore avoir des merveilles, des petits êtres, cela me rendais tellement heureux! Des jumeaux sans doute en plus, qu'espérer de plus? De beaux bébés en bonne santé. J'espérais des garçons ou au moins un, Hanna en voulait un et puis nous avions une magnifique merveilles, une petite fille déjà, ma petite, enfin notre petite Laurenza.

. Je désirais fêter le faite que nous étions seul ce qui ne s'était pas passer depuis un bon moment mais nous allions aussi fêter le faite que nous allions avoir des enfants. Je ne pensais pas que j'allais être un papa poule, mais je le suis en réalité ce qui au fond me fais rire. J'étais déjà très protecteur étant enfant avec mon frère, je le protégeais des coups de notre père, je le protégeais de tout, ce qui me fit sourire mais aussi avoir des regrets. John me manquais plus que tout, je regrettais de l'avoir laisser ainsi, d'avoir cesser de lui parler du jour au lendemain, mais je n'avais pas réussis a faire autrement après ce qu'il s'était produit. Il avait été stupide et je lui en voulait encore, je n'arrivais toujours pas a croire ce qu'il s'était passer, je l'avais protéger en trouvant cette histoire, nous sommes sortis tout les deux, nous ne l'avons pas vus et on ne sait pas ce qu'il c'est passer, ou elle a pus aller. Mais celui a qui j'en voulait le plus c'était moi, j'aurais dut dire la vérité, j'aurais du soutenir mon frère qui ne l'avait pas fait exprès et qui ne s'était pas douter qu'elle viendrait en courant pour le retenir. Tout était de ma faute, voilà ce que je pensais au fond, et je m'en voulais de n'avoir pas fait les choses autrement, je m'en voulais d'avoir choisis d'aller à la falaise alors qu'eux voulais aller au parc, je pensais que tout était de ma faute. Je soupirais, passant les mains dans mes cheveux... Je ne devais pas gâcher notre soirée et Hanna ne devait pas se douter que quelque chose n'allait pas... Je lui souris de nouveau l'embrassant avec amour avant de lui prendre la main et de l'attirer avec moi près de la table que j'avais préparer dehors.

. Je lui serrais la main très fort, j'avais tout préparer la veille au soir, j'avais mis des guirlandes à ampoules partout sur la terrasse, avec des millions de pétales de fleurs partout sur le sol et des cadeaux pour Hanna, des nuisettes en bonbons pour que je puisse les dévorer, ainsi que d'autres petits sous vêtements en bonbons. Mais aussi un magnifique collier en diamants. J'espérais que tout cela allait lui plaire. Je lui tiras la chaise pour qu'elle puisse s'assoir avant de lui donner tout ses cadeaux.

« C'est pour toi mon amour, enfin pour nous, mais ce petit présent dans la boite est uniquement pour toi. Je vais chercher nos entrés je reviens. »

. Je l'embrassais avec amour avant d'aller dans la cuisine chercher nos deux entrés. Des salades avec de la mozzarella comme elle les aiment à l'Italienne. J'arrivais avec nos plats avant de l'embrasser de nouveau amoureusement.

« Je t'aime tellement ma Hanna et je suis si heureux si tu savais a quel point je suis heureux de savoir que je vais être de nouveau papa! Tu es merveilleuse comme épouse, je suis tellement heureux depuis que nous sommes ensemble et encore plus depuis que nous sommes parents mon amour.  Pour ton travail je suis content que tu travailles a la maison, tu travailleras le temps que tu voudras mon amour, je ne veux que ton bonheur et je sais que tu aimes réellement ça d'être psychiatre. Tiens ta salade. »

. Je m'assis devant elle, avant de lui servir un verre d'eau, j'avais acheter une bouteille de vins et de champagne mais étant donner qu'elle était enceinte elle ne pouvait pas en boire. J'en pris un peu dans mon verre pour trinquer avec elle avant de lui dire :

« A ta santé mon amour, a nos futurs enfants mais surtout a notre amour et a notre bonheur depuis le jour ou nous nous connaissons. Je t'aime plus que tout, et je suis heureux d'être ton mari, je suis l'homme le plus chanceux du monde. A toi mon ange. »

Plus je le regardais, plus je repensais à notre rencontre. Nous nous étions rencontré au Starbucks de Londres. Je venais de prendre mon café regardant au sol comme toujours cela était une très mauvaise habitude mais là c’était la meilleure chose que j’avais fait. Je lui étais rentrée dedans renversant tout mon café sur lui. Sa pauvre chemise blanche mais surtout je m’inquiétais parce que le café était brulant. J’étais tellement gênée que j’en étais rouge de honte ce qui ne m’avait pas empêché d’essayer de frotter sa chemise mais cela ne servait à rien bien au contraire. Jamais je n’avais ressentis ce qu’il m’a fait ressentir rien qu’en touchant ma peau encore plus quand il releva mon menton du bout de ses doigts surtout je n’avais jamais accepté un rendez-vous aussi vite et encore moi de donner mon numéro de téléphone. Je n’en regrettais rien encore moins maintenant que je savais ce qu’est ma vie avec lui. Il y a une chose que je ne lui avais pas dite et s’il le savait et bien il se mettrait à rire me disant que j’étais adorable. Après avoir bu se café avec lui, je suis rentrée à l’hôtel pour retrouver mon ancienne meilleure amie Jessica qui m’attendait pour sortir visiter la ville mais je n’en avais pas trop envie pour être honnête espérant qu’il m’appellerait mais elle insista encore et encore jusqu’à se que je cède. Je lui avais donné mon numéro de portable ainsi que celui de l’hôtel ce que je trouvais un peu excessif mais ce que j’avais ressentis était enfin il n’y avait aucun mot pour qualifier ce que j’avais ressentis. Une fois rentrée à l’hôtel, j’avais était demander si j’avais eus des messages et rien comme sur mon portable à se moment là je m’étais mise à vociférer dans ma tête contre moi-même tout en allant me préparer pour me coucher. Le lendemain matin, Jessica me réveilla pour prendre le petit déjeuner mais je n’avais pas faim ce qui n’était pas moi surtout que je mange comme quatre alors aux lieux de prendre le petit déjeuner, j’avais été me faire couler un bain pour me remettre les idées en place. Je n’avais jamais était comme ça, je cherchais une explication en étant dans mon bain c’est alors que je compris que j’avais eus le coup de foudre pour lui, j’étais tombée amoureuse de lui au premier regard. Je pensais savoir ce que c’était d’aimer mais là je me rendais compte que je n’en savais rien du tout parce que j’étais en train de le vivre maintenant enfin de le ressentir. Il était plus de neuf heure du matin et il n’avait toujours pas appelé ne voulant pas montrer mon désarroi à Jessica, je décidais de forcer les choses moi-même en allant prendre un café au Starbucks espérant le voir quand mon portable sonna. J’avais hésité avant de répondre ayant peur d’être déçue que ce ne soit pas lui quand en soupirant je finis par répondre c’était lui. Il ne peut pas savoir ce que j’avais ressentis en entendant sa voix personne ne peut aimer comme nous nous aimons encore moins si tous ceux qui avait dit que nous n’arriverions pas à construire une vraie relation durable, qu’ils ne nous donnaient pas plus d’un an. Cela me faisais bien rire en y repensant mais on a prouvait que notre amour est plus fort que tout.

Je revenais à moi, il me serait très fort la main pour m’attirer dehors quand je vis ce qu’il avait préparé j’étais totalement émerveiller. Le connaissant j’étais sur qu’il avait fait tout cela pendant la nuit sachant que j’allais rarement dans le jardin au matin. Il me fit m’asseoir et me donna mes cadeaux, j’étais très curieuse et les ouvris encore plus vite quand il me dit que les premiers étaient pour nous deux c’était des nuisettes et sous vêtements en bonbon, je me mis à rire quand j’ouvris le second cadeau j’étais totalement émerveiller surtout il avait encore fait des folies mais ce collier était magnifique.

Alors c’est toujours moi la coquine ? J’ai hâte de les essayer mon amour vraiment hâte quand au collier, il est vraiment merveilleux merci mon amour tout ses cadeaux sont magnifique. Tu me le passe autour du cou ?

Il m’aida à le mettre puis m’embrassa avec amour avant d’aller chercher nos entrées là encore il c’était surpasser comme toujours. Je savais la chance que j’aie de l’avoir trouver et j’en remercier le ciel à chaque instant. Il arriva avec nos salades à la mozzarelle, il savait que j’en raffoler plus que tout. M’embrassant de nouveau avec autant d’amour et de passion il m’était difficile de me concentrer ce qui me fit rire quand il commença à parler et se qu’il me dit me mit les larmes aux yeux. Caressant sa main, je plongeais dans son regard trinquant avec lui évidemment je buvais un verre d’eau quand il me dit encore ses mots touchant je me retenais de pleurer, ne voulant pas gâcher se merveilleux moment. Nous commencions à manger quand je me mis à fondre littéralement en larme.

Si tu savais comme je t’aime, jamais je n’aurais pensé être aussi heureuse que je ne le suis depuis que tu es entré dans ma vie, depuis que je te suis rentrée dedans avec mon café pour être plus exacte. Depuis ce jour, ma vie à pris un sens parce que ce jour là j’ai trouvé l’homme de ma vie, mon âme sœur, le père de mes enfants. J’ai su que c’était toi dès la première seconde où je t’ai vu et je ne regrette aucun de mes choix même si vivre une relation longue distance était difficile nous avons prouvé à tout le monde que notre amour est plus fort que tout. Je t’aime d’un amour telle fort, puissant qu’aucun mot ne peut le qualifier. Tu es toute ma vie et je remercie le ciel chaque jour de t’avoir dans ma vie mais surtout d’avoir un mari aussi merveilleux que toi. Tu es un père formidable, un mari formidable et je sais que beaucoup de femme m’envie ce qui me rend jalouse à chaque fois que l’une d’elle te regarde mais je suis d’être ta femme si tu savais à quel point mais il y a une chose que tu dois savoir c’est aussi à quel point je suis fière de toi, de nous ainsi que de la famille que nous construisons jour après jour mais aussi d’être la mère de tes enfants. Je t’aime mon cher et tendre mari.

J’essayais de calmer ses larmes de bonheur mais c’était difficile surtout que c’était des larmes de bonheur, de joie. Moi qui n’avait jamais cru au mariage, à l’âme sœur encore moi au grand amour je me trouvais idiote d’en avoir douté mais je savais que si je n’y avais pas cru avant c’était parce que je ne l’avais pas encore rencontré lui, ma vie, mon âme sœur mais surtout mon bonheur.