Aie aie sa va faire mal { PV EDWARD . C & CARLISLE . C

Etant une vampire récente je n'avais pas trop le droit de sortir surtout la nuit en discothèque pour aller faire la fête. Carlisle ne voulant pas avoir de problème avec moi au niveau contrôle préféré que je ne sorte pas toute seule. Mais tête de mule comme je suis je n'écoute pas Carlisle et sorti de la maison alors que personne n'était là. J'en avais profité pour sortir avec la voiture que Carlisle m'avait gentiment offert lors de mon arrivée. Bien sûr moi je n'étais absolument pas au courant que tout le monde était à la chasse non pas au champignon, mais aux animaux.
J'avais tracé direction une ville loin de chez moi et m'était arrêté dans une discothèque très tendance. Une fois rentré je danse sans m'inquiété de l'énorme bêtise que je viens de faire. Et bien sûre je ne voulais pas penser aux conséquences de ce geste. Ayant rencontré un vampire de mon âge enfin en apparence j'étais comme très contente. Un vampire d'un genre assez marrant et très beau, mais sa personne ne le savait.
Au bout de quelques heures, je rentre à la maison dans la voiture j'étais souriante et sans me préoccuper de ma famille. En arrivant à un feu rouge, je répondis à un message de ce très beau garçon qui se prénomme Matt. J'avais rencontré une bande de vampire tous plus fou les un que les autres et cela ne me déranger absolument pas. A part une chose le fait qu'ils soient presque tous des vampires sanguinaires je pense même être la seule végétarienne de ce petit groupe.
Je n'avais jamais goûté le sang humain comme les autres de ma famille bien que j'ai un contrôle sur moi-même mieux que les autres. J'ai bien envie de goûter à ce sang qui a l'air tellement délicieux. En plus de cela j'étais affamé sa creuse danser toute une nuit, mais je n'y penser pas.
La route était longue et l'envie de sang commencer à augmenter de seconde en seconde j'essaye de me contrôler du mieux que je peux, mais sans vraiment le pouvoir. M'arrêtant sur le bas côté de la nationale qui menait à la maison j'avais remarqué un homme marchait sur la ligne d'arrêt d'urgence. Je descendis de la voiture pour aller soi disant l'aider, mais plus pour le tuer.
Mon contrôle sur moi était plus possible j'avais qu'une envie c'était d'y aller de planter mes crocs dans son cou et de lui vider le corps de sang. Et quel homme refuserai une aide venant d'une femme séduisante comme moi. J'étais vraiment mise en valeur avec ma robe bustier courte de couleur violette et de mes talons telle une femme fatale. Dans la seconde où ses yeux me disent oui je lui saute dessus et planta mes crocs dans son cou dans un moment de sauvagerie je n'ai pas mis plus de temps à le tuer qu'un ours.
Une fois revenu à mon esprit je ne sais plus quoi faire ni comment réagir. Je paniquai clairement ma robe pleine de sang et n'en parlons pas de ma figure. Je cache le corps et remonta dans la voiture pour rentrer à toute vitesse à la maison. Dans la voiture je paniquai, j'ouvre le garage et rentra la voiture tous les lumières de la maison étaient allumée. J'attrape mon sac et sorti pour monter à l'étage.
Mes pas était pressé pour aller me cacher loin de ma bêtise mais c'est sans oublié que pour monter à l'étage il fallait passer par le salon. Je prends mon courage à deux mains et entra dans le salon et là tous les regards se mirent sur moi pour enfin que de ma bouche sorte.

- Je crois que j'ai fais une grosse bêtise...

La chasse. Cette sensation de liberté. Ce sentiment de courrir , sans s'arrêter, avec un but fixe en tête : attraper sa proie. Cette facilité que la bête avait de se laisser tuer, bêtement et cruellement pas l'homme. Cette lutte, cette course, dont un seul en sortira gagnant, dont un seul restera vivant. Cette lutte pour la vie , pour sa propre survie, parfois pour la vie de sa famille. Mieux vaut s'en prendre aux parents qu'aux enfants. Se battre jusqu'au bout pour que rien ne leur arrive. Voilà ce que la plupart des parents pensent. Et probablement que la maman cerf qu'il avait tué pour se nourrir avait penser à cela. Surement qu'elle avait une famille à protéger. À cette pensée, Carlisle eu un haut le coeur. Si jamais il se faisait pourchasser lui aussi, il aurait fait pareil comme cette maman. Se battre jusqu'au bout. Tout pour sauver ses êtres qu'il adorait.Quitte à en mourrir.

Bref, toute sa famille ou presque avait été chassé cette journée là. Belle sortie. Il ne manquait qu'Anya et ses deux petites filles.Mais bon. Anya avait la ferme interdiction de sortir, elle avait encore un peu trop de misère à se contrôler. Elle n'avait pas voulu les accompagner à la chasse, s'était son choix. MAis elle ne devait pas sortir. Il avait un peu peur pour sa nouvelle fille. Vu son caractère, s'était presque sur qu'elle sorte s'amuser dans une discothèque ou un endroit de ce genre. Carlisle ne savait aps trop. Il n'était disons pas très branché sur ce genre de truc. Cela n'existait pas quand il était adolescent. S'était même TRÈÈÈÈÈS loin d'être inventé. Lui, s'était les fête de quartier, ou on invitait les jeune femme à danser.

Lorsqu'ils rentrèrent tous, le jeune docteur ne fut pas si surpris de ne pas voir Anya. Les yeux dorés, chaque membres de la famille Cullent étaient resplendissant ce soir là. Chacun d'eux était remplis, n'avait plus soif, et en plus, personne n'était partie en voyage, donc tout le monde était ''complèt''. Dans le sens que tout le monde avait son amour, son âme soeur, à ses côtés en ce moment, dans le salon. Ils se tenaient tous par la main. Ils étaient superbe à voir, rayonnants de bonheur.

Puis, débarqua Anya. Elle sentait le sang humain à des kilomètre à la ronde. Et lorsque Carlisle la vit, il secoua la tête, comme pour désapprouver. Il s'en doutait que ca allait arriver bientôt. Ils étaient tous passer par là. Tous, sans exception, avait déjà tuer. Sauf peut-être Bella. MAis s'était une exception totalement exceptionnelle.

Devant son regard piteux, ses épaules affaisser, cette jolie moue, Carlisle se leva. Il alla la prendre dans ses bras.

- C'est une bêtise ce que tu viens de faire là, Anya. Très grosse. Mais on est tous passer par là, certains plus que d'autre encore. Tu connais notre histoire à nous tous. Tu sais cela. Tu vas voir, tu vas arriver un jours à te contrôler. Cela peut prendre un peu de temps par contre.

Carlisle regarda sa famille. Il espérait que les membres de celle-ci ne se fâche pas pour ca. En fait , il savait qu'ils ne se fâcheraient pas pour ca. S'était en partie pour ca qu'il les aimait tant. Ils étaient si compréhensif !

Je me souviens de la première fois ou jadis Bella était venu à la demeure. Je me souviens même du moment ou je lui avait demander de venir chez moi pour la première fois. Elle était la en train de nettoyer sa camionnette rouge, son Chevrolet en écoutant de la musique. J'arrivais en atterrissant sur le toit rouge de la machine rutilante et je sautais pour atterrir à ses coter. J'arborais une veste plus communément nommé doudoune bleu alors qu'elle n'avait qu'une chemise à carreau. Elle fut surprise mais heureuse de me voir, quand je lui annonçait que je désirais qu'elle viennent chez moi rencontrer les miens. Elle était nerveuse, mais ce n'était guère pour les raisons que j'avais pensées autrefois, elle avait peur de ne plaire à ma famille, qu'il ne l'a trouve assez bien pour moi. Je me mis à rire, j'avais trouvé cela drôle qu'elle est peur de cela et non du faite qu'elle allait se retrouver au milieu d'une bande de vampires. J'eus un léger sourire en y repensant. J'étais installer la dans notre grand canapé blanc, dans notre salon vide de son d'enfant... j'avais mon journal à mes coter, comme de coutume et depuis que j'étais un immortel et je pense sans doute bien avant, je notais tout mes ressentis dans un livret, ce qu'on nommait journal intime. Personne ne les avaient tous lu, j'en avais toute une pièce.

Je le repris pour noter de nouveaux mes idées noirs, mes souffrances et mes peines. Durant une période de ma vie, je notais mes joies, celle d'avoir rencontrer mon grand et éternel amour Bella, je lui écrivais même des poèmes ou des chansons, mais depuis qu'on nous avait enlever notre cœur, notre petit amour, j'inscrivais de nouvelles lignes sombres à ce carnet. Je soupirais, je n'avais écrit dessus depuis une bonne heure déjà. Je m'étais laissé à fixer le plafond du salon, il était d'un blanc pur, comme le paradis dit-on. Je fixais le plafond profitant du tableau qui se dessinait dessus. Les lumières du dehors dessinaient en permanence sur le plafond, je tentais à chaque fois de déchiffrer quelque chose, un nouveau dessin, peut être même y percevoir des animaux, mais je n'arrivais à me concentrer, mes pensées n'était qu'orienté vers notre fille disparu à Bella et moi même. Les battements de son cœur, ses souffles, son odeur, tout me manquait en permanence, je n'avais jamais le moyen de ne pas y penser... Je n'avais même pas l'opportunité de dormir, quand bien même, j'étais persuader que je ne rêverais que d'elle.

Je rejetais mon carnet sur la table, il s'ouvrit à une page quelconque lorsque je me mis à parcourir les premières lignes.

« Joie ou peine, je ne sais. Quel sentiment devrais-je ressentir alors que mon amour risque un tel danger? Elle ne désire pas le quitter cependant, je ne l'ai jamais vu aussi heureuse, rayonnante même. Serait-ce un monstre ou le plus beau cadeau de notre vie? Notre compte de fée continuera t-il a perdurer? Toute ses questions tournent en permanence dans mon esprit, je ne sais m'en défaire... »

Ma lecture se stoppa à ce moment, je parlais d'elle Renesmée. Je ne désirais guère d'elle au début, pensant qu'elle n'était qu'un monstre qui rongeait de l'intérieur mon amour ma vie, mais à présent je n'avais besoin que d'une chose, ma fille. Je m'en voulais d'avoir penser ainsi à son sujet... Comment avais-je pus regné ainsi ma propre fille? A présent je donnerais tout, mon âme, je me laisserais périr au enfer rien que pour la revoir ne serait-ce qu'une seconde... Bella était sortie avec Alice, elles allaient rentrées dans peu de temps sans doute. Je m'en allais pour la villa, cela faisait un moment que je n'y étais aller, à vrai dire depuis le jour ou elle était disparu... J'avais du mal a quitter notre demeure et ma peine.

Je m'avançais dans l'aller pour voir ma famille, ils étaient quasiment tous à la maison, le calme y régnait comme toujours. Je m'en allais m'assoir sur un des canapés blanc du salon. Ce calme m'énervais quelque peu puisque je bouillonnais à l'intérieur. Les heures passèrent, nous discutâmes tous, lorsque Anya rentra. Elle sentait le sang humain, elle avait honte d'elle, je pouvais l'entendre à travers ses pensées. Carlisle alla la voir et la prit contre lui. Moi je m'en allais pour cacher le corps et le consumé avant qu'on pense à un meurtre et qu'on s'en prenne à notre famille. Une fois la tâche accomplie je rentrais à la villa. Me posant contre le mur de la cuisine je les regardais sans piper mots.

Ma robe encore tout rouge de sang et ne parlons pas de mon visage j'étais encore une enfant dans la tête de ma famille, la petite dernière qui faut protéger bien que ce sentiment je l'ai déjà ressenti en étant humaine. Avoir 4 frères et un père cela fessait beaucoup de protection en Russie même si après mes frères sont partis à l'armée et qu'il ne restait que mon père j'aimai ce sentiment de protection et de temps en temps je le déteste. C'est pareil avec ma nouvelle famille sauf que j'ai 3 frères, 2 soeurs, une maman et un papa qui me surprotège. Sans oublié une belle-soeur qui n'est pas très protectrice, mais qui est compréhensible de mon besoin de liberté. Ce n'est que le début me disait souvent Carlisle je ne peux ni sortir toute seule ni me faire d'amis.
Devant eux j'étais honteuse sans savoir comment j'allais faire pour expliquer mon geste bien que le geste et toute suite calculé j'avais faim et j'ai vu une proie facile. Carlisle ce leva et me pris dans ses bras pour ensuite me dire que j'avais fait une grosse bêtise merci je suis au courant. Je regarde dans ses yeux et d'une voix sanglotante.

- J'aurai pas du l'écouter...Il avait dis que j'allais craquer...

Oui les vampires ne pleure pas même dans les moments les plus tristes ils ont souvent en colère, mais jamais triste au point de pleurer. Mais je pense le pire c'est que Matt me l'avait dis que j'allais craquer et moi très confiante j'avais répondu on verra quand je rentre chez moi. Pourquoi avoir cru un homme pareil je ne peux pas après sa garder des contacts avec lui même si je voudrais impossible.
Edward était là lui aussi c'était rare de voir Edward ici il n'aimait pas trop resté à la maison même si des fois sa présence me rassure. Je me détache des bras de Carlisle pour aller près de la fenêtre regardait dehors et réfléchir à une façon de partir.
Ou partir pour la Russie j'ai déjà fait mon temps la-bas et la page est tournée. L'Italie pour profiter des paysage ou bien de Tokyo pour profiter de la mode japonaise ou autre. Parti sans un mot et sans un au revoir seulement une envie de partir loin de tout.
De ma colère contre moi je monte dans ma chambre pour me changer et me mettre dans un bas de survêtement gris et d'un haut de couleur rouge avec mes petites converses basses de couleur rouge aussi. Avec un gant j'enlève le sang sur mon visage et après je m'attache les cheveux un peu à l'arracher. Et je redescendis dans le salon pour aller m'asseoir sur le rebord de la fenêtre de façon a voir tout le monde dans le salon et de regarder le paysage. Dans mes pensées il y avait toujours cette envie de partir comme toutes les fois où je fait des bêtises ou que la vie n'était pas d'accord avec mon destin.

Juste apres son effusion avec Anya, la plus jeune de ses enfants, Carlisle se rassied auprès d'Esmée, sur le divan du salon. Cela ajoutait un poid de plus sur les épaules de Carlisle. Il se passait des choses horribles pour eux en ce moment. Lorsque son regard dévia vers son fils, Edward, notre beau médecin eut de la misère à dissimuler sa douleur. Voir son fils aîné, celui avec qui il partit sa belle famille du moment, celui de qui l'idée de créer son clan est partit. C'Est lui et Carlisle qui avait partit le clan des Cullen en quelque sorte. Il aimait tous ces enfants, mais disons qu'on voyait rarement les autres se tourmenter pour un problème personnel. Depuis qu'il avait rencontré Bella, s'était disons plus fréquent chez Edward, ce type de comportement. Et ca lui faisait mal de le voir comme ca. En plus, La fille de Edward, c'était sa petite-fille à lui, Carlisle, donc cela l'affectait énormément.

Il se doutait qu'Edward entendait ce qu'il pensait, mais Carlisle savait que son fil avait des choses plus importante à faire que d'espionner les pensée de son père. Malgré que, notre joli blond aimerait bien que son fils l'entende pensé, juste pour qu'il se retourne et parle un peu. Qu'il se confie, qu'il parle de quelque chose, qu'il rigole avec Emmett, qu'il arrête pas de faire des compliments à Esmée, bref, qu'il agissent un peu comme avant. '' avant que sa fille disparaisse'' pensa-t-il. De toute facon, ils avaient tous l'air de dépérir. On aurait dit qu'ils allaient tous mourrir le lendemain, par un suicide collectif, tellement l'ambiance dans la maison était comme à un enterrement. S'ils pouvaient pleurer, ils le feraient tous.

Il prit la main d'Esmée, comme pour se retenir. Cela ne paru pas, mais il avait terriblement peur pour sa petite-fille. Horriblement. Seul Edward , qui pouvait lire dans ses pensées, savait à quel point ca l'horrifiait. Et voir sa plus jeune fille se tourmenter et avoir l'air de vouloir partir l'effrayait aussi. Il ne fallait aps qu'elle s'en fasse pour si peu. Et puis, elle regardait souvent par la fenêtre comme ca. Comme si elle rêvait de l'extérieur. Carlisle ne pouvait pas en être sur, évidemment, mais en 400 ans, il avait appris à déchiffrer les comportements des autres. Tout le monde savait que si ils voulaient partir et faire leur vie ailleur, Carlisle ne les empêchera jamais. Ils seront toujours les bienvenue chez lui, mais si ils veulent quitter, Carlisle ne les empêchera jamais.

Carlisle soupira en pensant à tout cela. Il était totalement perdu dans ses pensées et il avait toujours la main d'Esmée dans la sienne. Il espérait tellement que son fils parle ! et que sa fille souhaite rester ici. Mais on ne pouvais pas tout demander dans la vie. Alors il se leva. Il marcha vers la porte et admira sa famille. LEurs yeux dorés avaient perdus leur étincelles de bonheur. Cela lui faisait si mal !

HJ: c'est nul, ca avance à rien, mais presser vous aps pour répondre, je pars samedi matin à 9h et je reviens le 14 ou 15, alors prenez votre temps Razz